Brèves de Gones du 24 Novembre

Brèves de Gones du 24 Novembre

Un prétendant veut passer à l'action dès cet hiver pour Houssem Aouar

Madeinfoot.fr


Dans les papiers de l’AC Milan et de l’AS Roma, Houssem Aouar (24 ans) se rapproche inéluctablement d’un départ. Pour éviter de perdre ce dossier, les Milanais pourraient dégainer une première offre dès cet hiver pour s’attacher ses services.

L’avenir de Houssem Aouar risque de faire parler dans les prochains mois ! En fin de contrat avec l’Olympique Lyonnais en juin prochain, le milieu de terrain de 24 ans se rapproche de plus en plus d’un départ. Mis au placard par Peter Bosz, le numéro 8 de l’OL s’est complètement relancé sous les ordres de Laurent Blanc. De quoi attirer les convoitises. En effet, depuis plusieurs jours, la presse italienne annonce que l’international français serait dans le viseur de l’AS Roma et de l’AC Milan. Ces deux intérêts pourraient mener à un vrai bras de fer entre les deux écuries.

L’AC Milan prêt à sortir le chéquier cet hiver ?

Si l’on en croit les informations de la Gazzetta dello Sport, les dirigeants milanais seraient prêt à passer à l’action dès le mois de janvier pour doubler leurs concurrents. Une offre de 8 millions d’euros devrait être transmise aux Lyonnais pour s’attacher les services du milieu offensif. Désormais, les regards se tournent vers l’OL. Vont-ils libérer Houssem Aouar afin de s’assurer une rentrée d’argent ou préféreront-ils le conserver jusqu’à la fin de la saison en prenant le risque de le voir partir libre ?



L'OL se restructure, du changement à venir !

Foot01.com


L’OL a pris un nouveau virage chez les pros avec la nomination de Laurent Blanc et les changements pourraient bientôt concerner le centre de formation.

Après avoir donné un nouveau souffle à son équipe professionnelle avec la nomination de Laurent Blanc en lieu et place de Peter Bosz, l’Olympique Lyonnais va s’attaquer à son centre de formation. Et selon les informations du Progrès, les changements risquent d’être nombreux dans les semaines à venir. Éducateur victorieux de la Gamberdella en mai, Eric Hély pourrait s’en aller cet été. « On va voir… J’ai retiré une chose des pros : je ne veux pas terminer aigri. Pour le moment, tout le monde est content. Professionnellement, financièrement, sur un plan familial, mon intérêt était de rester à Sochaux. Mais venir dans un top club, jouer la Youth League, gagner la Gambardella, c’est du pur bonheur. Après, depuis mon arrivée à Lyon, ma famille est restée à Montbéliard. On a fait des concessions par rapport à mon ambition et mes rêves, donc peut-être que je rentrerai à la maison. C’est peut-être la dernière équipe que j’entraîne » a confié l’actuel entraîneur des U19 de l’OL.

Une restructuration totale à l'OL cet été ?

Le départ d’Eric Hély pourrait bien ne pas être le seul lors de la prochaine intersaison à l’Olympique Lyonnais. En effet, la plupart des éducateurs arrivent au terme de leur contrat en juin prochain et de grosses modifications sont à envisager dans l’organigramme du club rhodanien. Outre la situation d’Eric Hély, les questions du maintien d’Amaury Barlet (U17) et de Gueïda Fofana (N2) vont se poser, les deux hommes entamant leur quatrième saison. Directeur du centre de formation, Jean-François Vulliez va prochainement enchainer les entretiens avec les différents responsables de pole afin de faire ses choix. L’entraîneur adjoint des U19 nationaux de l’OL, Pierre Chavrondier, avoue que du changement va avoir lieu. « Je serai en fin de contrat, donc je ne me projette pas plus loin qu’au-delà de la saison en cours. On verra s’il y a des propositions de l’OL et on avisera » a-t-il expliqué au Progrès. Des changements sont donc attendus à Lyon, où la restructuration risque d’être totale cet été.



Ligue des champions féminine: cascade de blessures, plan de jeu instable… l’Olympique Lyonnais en plein doute

Rmcsport.bfmtv.com


Les trois premiers mois de l’Olympique Lyonnais, pourtant en tête de la D1 féminine et toujours en course en Ligue des champions, sont plus que pénibles. La faute à une qualité de jeu laissant songeur et à une cascade de blessures.

L’Olympique Lyonnais, en tête de la D1 féminine, est toujours en course pour la qualification pour les quarts de finale de Ligue des champions. Quoi de plus normal chez les Fenottes à cette période de la saison ? Pourtant, lorsque l’on regarde de près ces trois premiers mois de compétition, ils sont plus que pénibles dans les rangs lyonnais. La faute à une qualité de jeu laissant songeur, et à une nouvelle cascade de blessures qui n’en finit plus avec la dernière en date: l’indisponibilité pour deux semaines d’Amandine Henry (mollet).

L’infirmerie ne désemplit pas

10. C’est le nombre record de joueuses blessées ou indisponibles à la mi-octobre. A date, elles sont encore huit: Elie Carpenter, Sara Däbritz, Damaris Egurrola, Ada Hegerberg (un point est prévu en janvier), Amandine Henry, Amel Majri, Griedge Mbock Bathy, et Catarina Macario. Il y a dans ce contingent des blessures de longue durée datant de la saison passée. Il n’empêche que depuis plus d’un an, l’infirmerie lyonnaise est trop souvent pleine à craquer. Il y a évidemment la malchance, comme pour Sara Däbritz en Ligue des champions, mais aussi d’autres pépins qui semblent pour certains observateurs du club être la conséquence d’une mauvaise gestion des organismes qui laissent songeurs certains éléments de l’effectif.

En effet, de nombreuses internationales tirent sur la corde depuis le début de saison. Après un Euro et une période de vacances estivales assez courte, elles ont dû enchaîner rapidement mi-août avec notamment la tournée aux Etats-Unis du club. Résultat: depuis pas mal de semaines, certains éléments font des allers-retours entre les soins et le terrain: Selma Bacha, Delphine Cascarino, Wendie Renard pour ne citer qu’elles. "Mentalement, on a eu peu de vacances, il y a eu beaucoup de déplacements, l’Euro, Ajoutez à cela les blessures, pour certaines joueuses on tire un peu sur la corde. Même si elles ne se blessent pas, elles ne sont pas forcément au top de leur forme et on ne peut pas forcément les remplacer car on a un effectif réduit malheureusement. C’est un tout qui fait que l’on est un peu moyennes, il faut dire la vérité en ce début de saison. Même en étant moyennes, on arrive à être en tête. Il ne faut pas s’alarmer et garder confiance en nous", confie l’attaquante Delphine Cascarino.

Un onze instable et une production de jeu difficile

Dans ces conditions, difficile de constituer un onze titulaire stable et performant. Sonia Bompastor doit très souvent faire du "bricolage", faisant par exemple redescendre Amandine Henry en défense centrale lors du match de Ligue des champions face à la Juventus Turin. Même si l’on intègre la logique de rotation d’effectif, la technicienne lyonnaise n’a pu aligner qu’une seule fois huit joueuses lors de deux matches d’affilée en championnat (2e et 3e journées). Le staff est logiquement impatient de retrouver ses joueuses cadres aptes. Quitte à presser leur reprise ? Vanessa Gilles a par exemple très vite rejoué une rencontre en intégralité, l’OL étant en panne de défenseure centrale.

Car aux blessures en club s'ajoutent le calendrier international et les matchs de l’équipe de France, où Griedge Mbock Bathy a certainement dit adieu au reste de sa saison. L'entraîneure Sonia Bompastor tente d’expliquer la situation: "Il faut replacer dans le contexte général. Que cela soit dans le football féminin ou masculin, on le voit encore actuellement avec la Coupe du monde, il y a énormément de blessures. L’équipe de France garçons est très impactée aussi. Les joueurs et joueuses jouent beaucoup de matchs. Je pense que l’après-Covid peut expliquer certaines choses. A notre niveau, bien évidemment que la remise en question existe pour trouver des solutions. Face à ces blessures, le groupe se restreint en nombre, et forcément dans la rotation. La gestion de la charge de travail nous permet moins de faire ce que l’on aimerait. On est attentif à tout, dans la récupération, dans la préparation des matchs, aux entraînements aussi pour bien calculer la charge de travail et permettre aux joueuses encore aptes de faire face à ce rythme dense."

L’une des conséquences directes de toutes ces absences est le jeu. Difficile de travailler correctement au quotidien en nombre restreint. Les prestations face à Fleury ou encore Guingamp (0-0) n’ont pas donné satisfaction et ont laissé un goût amer au sein de l’effectif. En Ligue des champions, la claque infligée par Arsenal a laissé des traces. Il n’y a évidemment pas péril en la demeure vu la situation sportive en D1 avec cette place de leader, mais au-delà des frontières nationales, le juge de paix sera la scène européenne. Et dans un mois l’OL saura où il se situe et s’il a les capacités de voir le printemps.



Nos joueurs seront de retour à l'entraînement ce vendredi

OL via Twitter


Le Stagiaire

@JeanLeStagiaire

De Gerland jusqu’à Fourvière brillera la ville des lumières.
Merci maman de m’avoir fait lyonnais.