L'actu du Lundi 26 Juillet

L'actu du Lundi 26 Juillet

Voir aussi... Le Tableau Mercat'OL // L'actu du Dimanche 25 Juillet

Peter Bosz après Sporting-OL : « C'est moi le responsable »

Lequipe.fr

Peter Bosz, l'entraîneur de l'OL, n'a pas accablé sa défense après la défaite en amical (2-3) dimanche soir face au Sporting Portugal.

Peter Bosz, l'entraîneur de l'Olympique Lyonnais, a livré son analyse de la défaite de son équipe face au Sporting Portugal (2-3), dimanche soir, en amical. « On a perdu contre une très bonne équipe, on doit être heureux que (le score soit) 3-2 parce que si on regarde le match, ils méritent de gagner avec encore plus de buts », a estimé le coach au micro d'OLTV.

S'il a été satisfait de l'entame de match marqué par un but d'Houssem Aouar dès la huitième minute, Bosz a surtout constaté que ses joueurs étaient très fatigués. « C'est normal quand tu es en stage que tu as entraînement tous les jours, a-t-il souligné. C'est le deuxième match dans ce stage, il faut dire qu'on a fait beaucoup de fautes avec le pressing. On ne peut pas faire un pressing comme ça. [...] Quand tu regardes les buts, c'est très facile pour eux de marquer. On a perdu trop de ballons, surtout au milieu. Ça ne doit pas passer, il y a beaucoup de choses qu'on peut faire mieux. »

« C'est moi le responsable »

Pourtant, l'ancien entraîneur du Bayer Leverkusen n'a pas accablé ses défenseurs et a même pris sa part de responsabilité dans cette défaite, la première en préparation. « Quand on prend trois buts, les gens disent que la défense à mal joué. Ce n'est pas la défense, c'est l'équipe qui a mal joué, d'après le technicien néerlandais. C'est moi le responsable, j'ai demandé aux joueurs de presser haut, je veux faire ça même si ça va mal, pour apprendre, pour regarder ce qu'on fait bien ce qu'on ne fait pas bien. Il faut qu'on travaille. »



Les autres réactions lyonnaises

Houssem Aouar
"On est là pour apprendre ce qu’on doit mettre en place. Il y a «  mais ces matchs sont là pour ça. On va attendre le débrief du coach. On va continuer à travailler nos principes qui sont forts. Physiquement je ne suis pas encore prêt mais presque. Je donne tout pour être prêt pour le premier match face à Brest."

Anthony Lopes
"On a bien travaillé cette semaine. Il reste peu de temps avant le début du championnat. On aurait aimé l’emporter ce soir mais on est tombé sur une très belle équipe du Sporting, On a encore énormément de travail. On sait quels sont les points à améliorer. On sera prêts pour le début du championnat."

Islam Slimani
"C’est une bonne leçon pour nous avant le début du championnat. On a fait de bonnes choses et de moins bonnes. On a des choses à corriger. C’est mieux de faire ces erreurs maintenant. On a bien travaillé cette semaine lors du stage, on a travaillé le système que l’on met en place."

Le résumé vidéo

 

 

Vidéo : zoom sur Guimaraes face à la Côte d'Ivoire (JO)

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Sporting-OL: une courte défaite en trompe-l'oeil pour des Lyonnais dépassés

RMC.fr

L’OL a eu du mal à exister contre le Sporting Portugal (3-2) malgré une bonne entame de match à l’occasion de son cinquième match amical, ce dimanche en préparation.

Peter Bosz aura matière à réfléchir dans les prochaines semaines. Le nouvel entraîneur de l’OL a connu sa première défaite de l’été (3-2) contre le Sporting, en conclusion d’un stage d’une semaine à Murcie, en Espagne. Après un match nul contre Villarreal (2-2), dernier vainqueur de Ligue Europa, qui pouvait laisser augurer la confirmation d’une dynamique enclenchée depuis l’arrivée du technicien néerlandais, Lyon a subi un sérieux coup d’arrêt, avec un naufrage au stade José-Alvalade, que le score ne reflète pas forcément.

Tout avait pourtant si bien commencé pour les partenaires de Maxence Caqueret - l’un des meilleurs en première période - dans l’impact et l’utilisation du ballon, qui s’appliquaient à exercer un pressing étouffant, récupérant énormément de ballons. De la vitesse, de l’intensité à la perte de balle, l'OL a montré tout ce que demande son nouvel entraîneur, mais tout cela n’a duré que trop peu de temps, jusqu’à ce que Lyon ouvre le score sur un très joli mouvement collectif, avec Houssem Aouar à la conclusion (8e).

Une défaite qui aurait pu être plus large

A l’issue du premier quart d’heure, Anthony Lopes, pour son grand retour sur le terrain, avait déjà sauvé son équipe, abandonné par une défense extrêmement fébrile. Et vraiment pas rassurante, à l’image de cette passe en dilettante de Diomandé (20e), ou de cette incompréhension entre le gardien de but et le nouveau venu, Henrique, qui a débouché sur l'égalisation gaguesque du Sporting (31e). Marcelo n’a pas été beaucoup plus appliqué, et de manière générale, le collectif lyonnais a été mis en grande difficulté pendant près d’une heure, dépassé par la technicité, le rythme et l’intensité du Sporting.

Les Lyonnais ont déjoué collectivement, subissant peut-être aussi le contrecoup du travail physique entrepris ces dernières semaines. Le naufrage lyonnais entamé dans le premier acte (31e, 35e) aurait pu prendre des allures de correction humiliante, mais le quatrième but portugais a finalement été refusé à Tomas pour une position de hors-jeu. Dangereux en première période malgré un score en sa défaveur à la pause (2-1), l’OL ne l'a plus été au retour des vestiaires malgré les nombreux changements de part et d’autre et le but tardif de Slimani (90e+4).

En difficulté athlétiquement, l'OL a perdu de plus en plus de ballons au fil des minutes, exposant sa défense et son gardien à la vitesse des joueurs portugais. Anthony Lopes a donné de la voix, mais rien n'y a fait, et son équipe, manquant de vitalité et de fraîcheur, n'est pas parvenue à sortir la tête de l'eau. Peter Bosz pourra tirer des leçons de ce match raté dans les grandes largeurs avant de se confronter au FC Porto le 31 juillet, puis de démarrer la Ligue 1 la semaine suivante.

La compo de l’OL : Lopes - Dubois (Gusto, 66e), Marcelo, Diomandé (Denayer, 45e), Henrique (T. Mendes, 45e) - Caqueret (Cherki, 73e), Jean Lucas (Da Silva, 73e), Aouar - Toko Ekambi, Dembélé (Slimani, 73e), Cornet.

 


 

Andersen part pour un montant record, Bosz tient déjà son remplaçant

Butfootballclub.fr

Le départ imminent de Joachim Andersen (25 ans) à Crystal Palace ne devrait pas être compensé par l’arrivée d’une recrue à l’OL au mercato estival.

Le transfert de Joachim Andersen (25 ans) était attendu et devrait permettre aux dirigeants de l’OL d’avancer sur le dossier André Onana (25 ans). Comme révélé hier, le défenseur danois va être vendu à Crystal Palace. Selon L’Équipe, l’OL devrait obtenir un peu plus de 16 M€ dans cette transaction et le montant pourrait ensuite approcher les 20 M€ selon la validation de divers bonus.

Anthony Tobelem, journaliste de Canal+, parle plutôt d’un montant proche de 30 millions d’euros avec les bonus ! Quoi qu’il arrive, Andersen devrait rapporter gros à l’OL, lui qui devrait se rendre à Londres dans les prochains jours afin de signer un contrat de cinq ans avec le club entraîné par Patrick Vieira. Cet argent ne servira pas au financement de son remplaçant dans le Rhône.

Le quotidien sportif affirme que Peter Bosz, qui compte énormément sur Castello Lukeba (18 ans) en charnière, ne veut pas de recrue pour remplacer le Danois. En revanche, le technicien néerlandais souhaite toujours l’arrivée d’Onana, puis celle d’un attaquant polyvalent de haut niveau.

 


 

La menace Inter revient sur Onana

Foot01.com

Alors qu'on annonçait un accord de principe entre l'Olympique Lyonnais et André Onana, le gardien de but de l'Ajax Amsterdam pourrait rester avant un transfert libre.

Depuis plusieurs semaines, on connaît l’intérêt de Lyon pour André Onana, le portier international camerounais de l’Ajax, au point même que plusieurs journalistes ont annoncé que Juninho et le représentant d’Onana avaient déjà scellé un accord. Seul problème, du côté d’Amsterdam, Marc Overmars se montre financièrement gourmand, le directeur sportif néerlandais réclamant 10 millions d’euros là où l’Olympique Lyonnais n’en propose pas la moitié. Le dossier est donc à l’arrêt, malgré le souhait de Peter Bosz de voir son ancien joueur le rejoindre au Groupama Stadium. Cependant, les choses pourraient se débloquer, mais pas dans le sens que l’OL l’espérait. Car à un an de la fin de son contrat avec l’Ajax Amsterdam, et conscient que sa situation sportive était compliquée, puisqu’il est suspendu pour dopage jusqu’en novembre et jouera ensuite la CAN, André Onana a peut-être fait un autre choix que celui de signer à Lyon.

Le site spécialisé italien Stop and Goal affirme ce lundi que l’Inter Milan est revenu à la charge. Longtemps cité comme un point de chute possible pour le gardien de but de 25 ans, le champion d’Italie tente de convaincre ce dernier d’aller au bout de son engagement avec l’Ajax Amsterdam en 2022 avant de signer libre pour la saison prochaine. Le deal pourrait être gagnant-gagnant puisque l’Inter a l’occasion de récupérer un des meilleurs gardiens de la planète pour rien, tandis qu’André Onana peut, lui, obtenir une belle prime à la signature. Ce scénario est donc crédible, même si on se doute bien que du côté de Lyon, Jean-Michel Aulas ne lâchera pas si facilement l'affaire, même si les matchs amicaux ont surtout montré que l'OL avait besoin de renforcer sa défense avant tout.

 


 

Les 5 raisons de titulariser Malo Gusto cette saison

90min.com

Il est l'un des gagnants de l'arrivée du nouvel entraineur Peter Bosz. Le jeune homme de 18 ans a régulièrement été dans le groupe pro l'année dernière mais il n'a pas pour autant vraiment eu sa chance avec Rudi Garcia.

Avec l'arrivée d'un nouvel entraineur les cartes sont toujours rebattues. Et cette fois-ci cela semble sourire au jeune Lyonnais. 90min vous a concocté les 5 raisons de titulariser Malo Gusto cette saison en Ligue 1.

1. L'un des meilleurs centres de formation d'Europe

Depuis toujours, le club rhodanien attache une grande importance à son centre de formation et à l'accompagnement de ses jeunes. L'OL a toujours su sortir de jeunes pépites prometteuses à l'image de Benzema, Lacazette, Aouar ou encore Fekir...

Jean-Michel Aulas estime avoir perdu environ 135 millions d'euros avec l'épidémie de coronavirus. Une perte qui conforte le club dans son choix de miser sur la jeunesse. Un choix qui pourrait avantager le latéral lyonnais dans sa quête de devenir le titulaire indiscutable sur son flanc.

2. Le choix d'un entraineur porté sur les jeunes

Peter Bosz ne s'en est jamais caché, il aime avoir un groupe très jeune accompagné de quelques joueurs d'expérience pour encadrer le groupe, à l'image de l'équipe qu'il avait à l'Ajax.

En venant à Lyon, il savait d'avance qu'il n'aurait pas une grosse enveloppe de transfert mais qu'il bénéficierait d'un bon vivier de jeunes joueurs à faire progresser.

3. Une concurrence amoindrie

Si le milieu est plutôt très bien fourni avec des joueurs comme Aouar, Paqueta, Bruno Guimaraes, Caqueret, Jean Lucas, etc... Les latéraux eux ne sont pas nombreux, qui plus est avec le départ de Melvin Bard à l'OGC Nice et les différentes rumeurs de transfert sur Maxwell Cornet.

À son poste (latéral droit) il n'y a donc qu'un seul concurrent, Léo Dubois, l'habituel titulaire.

4. Des performances à la hauteur

Auteur de bonnes prestations contre Wolfsburg (4-1) et Villarreal (2-2) Malo Gusto, qui a été élu homme du match, a marqué des points qui devraient lui permettre d'entrer au moins dans la rotation d'effectif.

L'entraineur lyonnais déjà sous le charme de ses jeunes :

«Ces deux joueurs (Lukeba et Gusto) sont des talents, ils ont très bien joué, mais aujourd'hui, nous en avions six qui étaient formés à l'académie. Et les jeunes qui sont rentrés, pour seulement quinze minutes, m'ont un peu surpris. Ils ont vraiment très bien joué et je leur ai dit dans le vestiaire», a déclaré Peter Bosz après le match contre Wolfsburg.

5. Apporter un renouveau

Peter Bosz l'a annoncé il souhaite axer son jeu sur l'offensif avec des joueurs capables de répéter les courses et de repartir de derrière, bon au pied et technique.

"Ce n'est pas facile de jouer offensif et de gagner, mais c'est possible. J'aime quand on ressort de derrière, j'aime aussi mettre beaucoup d'intensité dans le jeu, avec et sans le ballon. C'est pourquoi le pressing est important. J'ai bien aimé nos jeunes, je prends du plaisir avec eux, ils progressent"

Le jeune Lyonnais semble donc avoir toutes les qualités voulues par son nouvel entraineur.

 


 

Slimani se lâche sur le Sporting

Foot01.com

Remplaçant aux yeux de Peter Bosz depuis le début de la préparation, Islam Slimani a marqué dimanche soir avec l’OL face au Sporting.

En concurrence avec Moussa Dembélé pour le poste d’avant-centre, l’international algérien tentera de grappiller davantage de temps de jeu que la saison dernière. Sous la houlette de Rudi Garcia, Islam Slimani n’a jamais vraiment eu sa chance, alors qu’une majorité du public lyonnais aurait aimé le voir à l’œuvre au côté de Memphis Depay. L’ex-attaquant de Leicester a rongé son frein et visiblement, il n’a pas hyper bien accepté son statut de remplaçant à l’OL. La preuve, l’Algérien a publiquement évoqué un potentiel départ après la défaite des Gones contre son ancien club du Sporting Portugal, en ouvrant en grand la porte à un retour à Lisbonne.

Slimani déclare sa flamme au Sporting

« Le Sporting est ma maison. Pour moi, c’est toujours très agréable d’être ici. Il manque les supporters, mais Alvalade est un stade spécial à mes yeux. Les supporters, le club, le Sporting, la cuisine portugaise, le soleil… Tout me manque ! » a lancé Islam Slimani, dont la déclaration d’amour au Sporting le soir d’un match entre l’OL et le club portugais était totalement inattendue. Avant de conclure en évoquant un potentiel retour. « Un retour au Sporting ? J’aimerais, mais… Pour moi, le Sporting est une très bonne équipe avec un super entraîneur. J’étais très heureux de les voir remporter le championnat la saison dernière, je vois la moitié des matchs de l’équipe. Le Sporting restera à jamais dans mon cœur car c’est ma maison ». Une déclaration tonitruante qui ouvre largement la place à un départ de l’Olympique Lyonnais pour Islam Slimani. Rappelons que le buteur algérien de 33 ans a porté les couleurs du Sporting durant trois saisons. Il y a particulièrement brillé avec 57 buts inscrits en 111 matchs.

 


 

Balbir : « C’est difficile de déloger une institution comme Anthony Lopes »

Butfootballclub.fr

Chaque lundi, Denis Balbir décrypte l'actualité de Ligue 1. Cette semaine, notre consultant parle de la prochaine saison de l’Olympique Lyonnais, des principes de jeu prôné par Peter Bosz ainsi que des différents objectifs que doit avoir le club en Ligue 1 comme en Ligue Europa.

Il faut insister sur le jeu côté OL. Ils ont un gros effectif, un entraîneur très joueur qui veut changer la donne par rapport au passé. C’est ce qu’il dit dans son discours. Il faut le retranscrire sur le terrain et ça n’est pas facile. Lyon a de grosses individualités comme Aouar. Quand il veut, c’est un très grand joueur. Il faudra rapidement régler le cas des gardiens qui peut devenir un problème. C’est difficile de déloger une institution comme Anthony Lopes et il pourra se mettre en difficulté avec Onana. Pour le moment, aucune inquiétude. Ils développent un beau football tourné vers l’avant. L’ADN du club, c’est l’Europe, ils adorent ça. Ils attendent ce retour avec impatience. Ils veulent faire mieux que l’an dernier en Ligue 1 aussi. Ça peut être une attraction du championnat, il faut désormais que la mayonnaise prenne. Les matchs amicaux, qu’ils soient perdus ou gagnés, l’important, c’est le contenu. En l’occurrence, il n’a pas été négatif.

« Bosz débarque avec des schémas en tête »

Peter Bosz devra peut-être laisser certains principes de côté dans la saison. Je pense à Jean-Marc Furlan qui, avec Strasbourg, avait réalisé des choses remarquables avec 3-4 buts par match. Et à la fin, il est descendu en Ligue 2. C’est difficile d’être toujours dans le jeu flamboyant. Au-delà de vouloir appliquer son envie de jouer au football, il faudra aussi être pragmatique en s’adaptant à la Ligue 1. Il débarque avec des schémas en tête, il veut que son équipe pratique un beau football. Je ne veux pas faire dans les clichés, mais Lyon ne sera jamais le Barça, même si Peter Bosz souhaite se rapprocher d’un jeu de possession. Il devra s’adapter aux adversaires et à un championnat qu’il découvre. Il devra forcément faire des concessions, ses idées mettront du temps à se mettre en place et c’est logique. C’est difficile d’allier spectacle et résultat. On sait que l’OL, comme le PSG, l’OM ou Lille, est attendu au tournant. Tous les adversaires seront là pour les embêter. Le souci d’adaptation sera la clef de la saison : trouver un équilibre entre la philosophie de l’entraîneur et la réalité du terrain en Ligue 1.

« Il a toujours lancé des jeunes »

Peter Bosz n’hésite pas à lancer les jeunes depuis le début des matchs amicaux, c’est un bon signe pour le groupe, pour le club et pour le football français. Que ce soit l’A.S.S.E ou l’OL, les écuries ont compris, parfois à cause de la crise économique, que les talents peuvent déjà être chez eux. Ça a pu réveiller quelques consciences et c’est tant mieux. Il y a beaucoup de jeunes qui étaient dans l’antichambre des grands clubs et qui n’ont pas pu exprimer leurs talents ces dernières années. J’ai souvent été surpris que Lyon vende certains jeunes, même si ça a été fait avec parcimonie et qu’ils ont gardé leur ossature de jeunes gones. C’est aussi une des marques de fabrique de Peter Bosz. Par le passé, il a toujours lancé des jeunes et son centre de formation. Il sait les faire éclore. C’est une bonne nouvelle pour les Lyonnais. Ils savent qu’ils vont pouvoir se montrer au plus haut niveau.

Lyon a les capacités d’atteindre les quarts de finale de la Ligue Europa. C’est une épreuve qui est parfois dénigrée alors qu’il y a de très bonnes équipes chaque saison. Ça n’est pas une Coupe du pauvre contrairement à ce que certains peuvent dire. On l’a vu quand Marseille a joué contre Leipzig, elle offre aussi de grandes émotions. Les Gones ont cet ADN intéressant pour le football français, ils jouent à fond les Coupes. Ça m’étonnerait que Peter Bosz ne soit pas dans ce schéma-là, on l’a vu avec l’Ajax Amsterdam. L’OL est un club qui respire l’Europe, c’est une locomotive pour le football français. En termes de résultats, de volonté, Lyon est un exemple. Pour ce qui est du championnat, c’est très mystérieux, la Ligue 1 promet d’être compliquée cette saison et particulière. On aura le retour des supporters, des outsiders qui veulent jouer les troubles-fêtes : Nice ou Rennes … c’est un championnat qui nous réserve de nombreuses surprises. La qualité du football français a augmenté ces trois dernières années.

 

 

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