L'actu du Mardi 20 Avril

L'actu du Mardi 20 Avril

 Voir aussi... L'actu du Lundi 19 Avril // OL - Monaco : L'Avant Match

Caqueret : « On sait où on veut aller »

OL.fr

Le milieu de terrain lyonnais, Maxence Caqueret, s'est présenté devant les journalistes pour évoquer le 1/4 de finale de Coupe de France contre Monaco.

Un 1/4 de finale de Coupe de France

« On reste sur deux bonnes victoires en championnat. C’est une autre compétition. Il faudra gagner pour aller en 1/2 finale. On a bien préparé ce match car la Coupe de France est aussi un objectif. On pensera à ce match. Il faudra passer cette étape et après on basculera à autre chose à partir de jeudi… On doit continuer sur notre lancée. On sait où on veut aller. On est un grand club et on est là pour aller le plus haut possible. »
 
Monaco

« Ils font une très grosse deuxième partie de saison. Ils sont sur une dynamique incroyable. Rien n’est joué sur un match. On a une très bonne équipe pour les concurrencer. On va tout donner. C’est possible que ce soit un match ouvert avec beaucoup de buts. On ne sait pas. En tout cas, on est préparés pour faire le meilleur match possible. »
 
10 jours cruciaux

« Le groupe est très concentré. On sait ce qu’on veut, on a tous les mêmes objectifs. On travaille pour être au top niveau à chaque match. On le fait dans la bonne humeur… On ne fait pas des matches complets tout le temps. Il n’y a pas d’explication. A nous d’être plus constants. »
 
Tes relations avec les autres milieux

« Je me sens bien avec les autres. On a montré avec Bruno et Paqueta qu’on avait une bonne complémentarité. Il y a aussi Aouar et Mendes. On sait jouer tous ensemble, il y a des facilités. C’est important pour le collectif. On sait qu’on est une rampe de lancement… Le retour d’Aouar est un vrai plus pour l’équipe. On connaît tous ses qualités. On a un gros effectif avec beaucoup de concurrence. Cela nous pousse à nous battre tous les jours. »

Le 4-2-3-1

« On est formés pour jouer dans plusieurs systèmes. Cela ne change pas grand-chose pour moi. Je joue à mon poste préférentiel. »
 
Ta forme du moment

« Je me sens bien. Je suis content d’avoir retrouvé du temps de jeu. C’est bien pour moi. Les compliments de Sidney Govou sont flatteurs. Je dois marquer plus, faire plus de passes décisives et être plus dangereux dans les derniers mètres. Je l’ai beaucoup fait dans les catégories de jeunes. Je dois le faire aussi maintenant car cela aidera le collectif. Je sais que je peux le faire. Mais je ne me focalise pas dessus, ce n’est pas une priorité. »

 


 

Garcia : « On a peur de personne »

OL.fr

Le coach, Rudi Garcia, s'est présenté en salle de presse à la ville du rendez-vous face à Monaco en Coupe de France.

Point santé

« Tino Kadewere et Djamel Benlamri sont forfait. J’espère qu’un retour ne sera tarder. 90 minutes me paraît beaucoup pour Aouar. Mais son entrée à Nantes l’a remis dans le rythme. Julian Pollersbeck gardera les buts demain. »
 
10 jours cruciaux

« C’est un prochain match capital. Les autres, je ne sais pas qu’ils existent les autres. La Coupe est importante, il y a un trophée au bout. On joue une grosse équipe. Il n’y aura pas de calcul à faire. On ne demande qu’à aller au bout. Je veux jouer tous les trois jours jusqu’à la fin de saison. Il n’y a pas de raison que les joueurs ne soient pas motivés. J’ai besoin que tout mon groupe reste concentré, motivé pour que chacun puisse amener sa pierre à l’édifice. »
 
La Coupe de France

« Je l’ai déjà gagné et c’est quelque chose d’assez unique. C’est une compétition ouverte à tous les clubs. Ce sont des belles émotions. »

L’équipe de Monaco

« Monaco est sur une bonne dynamique. On respecte tout le monde mais on a peur de personne. On peut battre tout le monde. La Coupe est une compétition différente. Je ne sais pas s’ils vont faire tourner. L’objectif est de se qualifier peu importe la manière. »
 
Deux visages dans un même match

« On a vu contre Angers qu’on était capable de faire un match plein, de se rendre le match facile. On doit s’appuyer là-dessus. On doit être capable de le faire tout le temps. »
 
Le 4-2-3-1

« C’est important que les joueurs montrent qu’ils sont capables de jouer dans plusieurs systèmes. Il faut essayer de mettre les meilleurs joueurs au meilleur poste pour avoir le meilleur rendement possible. C’est un vrai atout supplémentaire de pouvoir utiliser plusieurs systèmes… Aouar peut jouer à plusieurs postes. Il peut être bien à gauche aussi. »
 
Maxence Caqueret

« Son jeu à une touche est important. Il est déjà collectif au maximum, c’est bien. Cela déteint sur les autres. Cela montre ce qu’il faut faire. Il se sacrifie naturellement pour équilibrer l’équipe. Il est toujours en train d’harceler, de récupérer des ballons et faire la bonne passe vers l’avant. C’est bien qu’il se concentre sur les tâches défensives et sur l’équilibre de l’équipe. »

Le poste de latéral gauche

« Je ne pense pas que Maxwel Cornet soit en difficulté défensivement. Il doit retrouver une justesse de relation technique avec les autres. Il l’a eu. Le fait de bien ressortir le ballon est important. Il a la qualité pour. »

 


 

L'OL prêt à mettre 15M€ sur Marcelo (Real Madrid) ?

Donbalon via Twitter

 


 

Umtiti à vendre, Lyon est à l'affût

Foot01.com

Plombé par les blessures, Samuel Umtiti ne fait plus partie des plans de Ronald Koeman à Barcelone, où il n’a disputé que 13 matchs cette saison.

Sous contrat avec Barcelone jusqu’en juin 2023, le champion du monde 2018 pourrait bien faire ses valises dès le mercato estival. Lundi, le journaliste Fabrizio Romano dévoilait l’intérêt du Zénith Saint-Pétersbourg, déterminé à relancer Samuel Umtiti. De son côté, l’ancien joueur de l’Olympique Lyonnais aspire à toujours évoluer dans l'un des cinq grands championnats et s’il est flatté par l’intérêt du Zénith, il ne souhaite pas se précipiter. Son objectif principal était de se relancer à Barcelone ou au pire, de signer dans un club de Premier League. Le doute est total dans ce dossier et tout semble possible. C’est précisément pour cela que l’OL est également attentif à la situation de Samuel Umtiti selon Stop and Goal. Le média croit savoir que l’Inter Milan et donc l’Olympique Lyonnais suivent le dossier Samuel Umtiti et sont prêts à bondir dans l’optique du mercato estival.

Le site spécialisé écrit même que le Barça a déjà échangé avec les dirigeants de l’OL ces dernières semaines au sujet de Samuel Umtiti mais que pour l’instant, aucune offre n’a officiellement été formulée par Juninho et Jean-Michel Aulas. Au micro de RMC, le directeur sportif lyonnais avait évoqué la situation de Samuel Umtiti au mois de septembre. « Umtiti connaît la maison. Mais à partir du moment où tu regardes le niveau de contrat de ces joueurs, comme à la Juventus ou au Barça, ce n’est pas pour nous aujourd’hui. Aujourd’hui, il faut dire la vérité, on ne peut pas payer le salaire d’un Umtiti » expliquait-il à l'époque. En sera-t-il autrement cet été ? Tout l’enjeu du dossier Samuel Umtiti est là pour l’OL, qui compte déjà Marcelo, Jason Denayer et Sinaly Diomandé dans ce secteur de jeu.

 


 

Les tendances pour le 3e maillot commun entre OL et ASVEL

FootyHeadlines.com

FootyHeadlines peut révéler plus d'infos sur le troisième kit Lyon 21-22 : il aura un look extraordinaire en noir et blanc (à l'image du maillot third 3D de 2012-2013). Comme précédemment divulgué, le troisième kit Adidas Lyon 21-22 partagera le design avec le maillot du club de basket ASVEL Lyon-Villeurbanne.

 


 

Face à Monaco, premier acte d’un triptyque décisif pour Lyon

Sport24.fr

L’OL, quatrième en championnat et opposé à Monaco mercredi en quart de finale de la Coupe de France, a encore son destin entre ses mains. Avec trois rencontres cruciales, ces dix prochains jours décideront du sort des Lyonnais.

Ce sont très probablement les dix jours les plus décisifs de la saison de l’OL. Alors qu’ils affrontent Monaco ce mercredi en quart de finale de la Coupe de France, les Lyonnais commencent le premier acte d’un triptyque qui fera, à coup sûr, basculer l'exercice 2020-2021 rhodanien. Cette réception est d’autant plus importante qu’il sera impératif de marquer psychologiquement son adversaire : les deux clubs se retrouveront en championnat dix jours plus tard, sur la pelouse monégasque cette fois-ci. Séparés par un seul point en Ligue 1, Lyon, quatrième, et Monaco, troisième, abordent cette rencontre avec bien plus de motivation que de simplement décrocher un billet pour les demi-finales de la coupe.

Il est donc primordial pour les Lyonnais d’éliminer les joueurs du Rocher, surtout pour une équipe dont les ressources mentales et la cohésion ne sont pas les qualités premières, au contraire de Monaco. Avec l’aisance technique et les grandes aptitudes de footballeur que peuvent avoir Lucas Paqueta, Memphis Depay ou encore Maxence Caqueret, l’OL ne paraît pas intrinsèquement moins fort que son adversaire. Il est peut-être même légèrement meilleur individuellement. Toutefois, Rudi Garcia ne semble pas avoir réussi à fédérer un véritable groupe comme cela peut l’être à Monaco ou à Lille. Le collectif lyonnais est souvent brouillon et morose. Un travers que les Gones ne parviennent pas à effacer depuis plusieurs saisons maintenant puisque c’était déjà le cas du temps de Bruno Genesio. Ce qui signifie que les joueurs et les entraîneurs se succèdent mais que les défauts ne se gomment pas. Cette inconsistance collective pousse Lyon à jouer sur courant alternatif depuis presque cinq ans maintenant. Souvent, ils ne maîtrisent qu’une mi-temps sur deux, comme ce fut le cas face à Nantes dimanche dernier (victoire 2-1).


Réussir le sprint final, une marque de fabrique


Mais si l’esprit reste le même malgré le jeu de chaises musicales entre les joueurs et les coachs, il peut y avoir des motifs d’espoir. L’OL a, depuis quelques années, une faculté impressionnante à pouvoir se transcender dans les matches couperets, et encore plus dans la dernière ligne droite. Monaco en avait fait les frais il y a cinq ans. Dans une finale pour la deuxième place, les Monégasques avaient complètement été emportés par les Lyonnais, 6 à 1. Des fins de saisons en boulet de canon que certains anciens de la maison, Jean-Michel Aulas en chef de file, mais aussi Juninho, Aouar, Lopes et même Memphis incarnent. Le capitaine néerlandais, très impliqué dans son rôle alors qu’il pourrait quitter le club à la fin de la saison, a la lourde mission d’insuffler à ses coéquipiers cet état d’esprit caractéristique entre Rhône et Saône.

Après l’ASM, les Rhodaniens retrouveront Lille dimanche pour le compte de la 34e journée de Ligue 1. Une victoire face aux Dogues et ils effaceront quasiment les faux-pas accumulés sur les pelouses de Reims (1-1) et Lens (1-1) puisqu’ils dépasseraient le leader nordiste grâce à une différence de buts en leur faveur. Puis ils iront à leur tour sur le terrain du Stade Louis II une semaine plus tard pour y défier les Monégasques dans une forteresse où les locaux n’ont pas perdu en 2021. En l’espace de dix jours, les Lyonnais ont l’occasion de tutoyer les sommets, tout comme de finir avec la médaille en chocolat et le bonnet d’âne.

 


 

Garcia pourra compter sur un joueur très motivé face à l'AS Monaco

Butfootballclub.fr

L'entraîneur de l'OL, Rudi Garcia, ne devrait pas faire trop tourner son équipe pour le choc contre l'AS Monaco en Coupe de France. Islam Slimani, ancien du club de la Principauté, devrait être titularisé car très motivé à l'idée de croiser son ex.

On aurait tendance à l'oublier vu la polémique Super League mais les quarts de finale de la Coupe de France se profilent en ce milieu de semaine. Avec notamment un très alléchant OL-AS Monaco. Alors que le sprint final bat son plein en Ligue 1, avec notamment ces deux-là à la lutte pour le titre avec le LOSC et le PSG, ce rendez-vous tombe plutôt mal. Mais L'Equipe assure que Rudi Garcia ne devrait pas trop faire tourner et qu'il pourra compter sur un joueur revanchard.


"Slimani aimerait certainement briller contre son ancien club…"


« Rudi Garcia devrait faire tourner demain. La Coupe a souvent servi à certains pour se montrer mais l’adversaire oblige aussi à réduire peut-être la quantité de rotations. Rayan Cherki devrait toutefois démarrer. Qui sera à son côté en attaque ? Certains ont fini très fatigués dimanche, comme Slimani et Toko Ekambi tant ils ont multiplié les efforts, mais Garcia ne pourra pas se passer des deux en l’absence de Kadewere qui soigne une douleur aux ischios. Et l’Algérien aimerait certainement briller contre son ancien club… »

« Thiago Mendes devrait aussi reprendre sa place au milieu auprès d’un Caqueret dont les caractéristiques athlétiques lui permettent d’enchaîner sans gros soucis physiques. »

 


 

Double sens, Garcia peut aussi planter Aulas

Footradio.com

Encore et toujours en fin de contrat du côté de l’Olympique Lyonnais, Rudi Garcia souhaiterait bel et bien poursuivre son aventure au Groupama Stadium.

Le week-end dernier, en battant Nantes (2-1), le club rhodanien est pleinement revenu dans la course au titre. Toujours quatrième de la L1, Lyon n’est plus qu’à trois points du leader lillois. Et maintenant, l’OL va jouer sa saison lors des deux semaines à venir, avec la réception de l’ASM en Coupe de France ce mercredi, celle du LOSC en L1 le week-end prochain, et le déplacement à Monaco le 2 mai. Après ces matchs-là, Lyon saura à quoi s’en tenir. Et Rudi Garcia avec ? En tout cas, l’entraîneur lyonnais ambitionne encore de prolonger son bail. « Bien sûr que j’ai envie de continuer avec le président Aulas. Je pense que c’est un club qui me va bien, un club posé. J’ai une sérénité par rapport à ça. J’espère que ce sera ici, sinon ce sera ailleurs », a lancé Garcia sur Canal+.


« Garcia et Aulas se verront quand ça sera le moment »


S’il ne connaît pas les dernières tendances, Edward Jay estime que Garcia est toujours sur la sellette chez les Gones. « Pour Garcia, c’est toujours au même point. Il rencontrera la direction à la fin du championnat, une fois que l’OL connaîtra sa place en Coupes d’Europe. Garcia et Aulas se verront quand ça sera le moment, soit à la fin de la saison. Reste à savoir si les tendances de l’automne sont les mêmes maintenant. Est-ce que l’arrivée d’un nouvel entraîneur est toujours d’actualité, ou est-ce que Garcia sera conservé ? Je ne sais pas… Après, le coach est en fin de contrat, il peut aussi avoir envie de partir. Il est dans un grand club qui lui va bien. L’OL lui correspond. Mais s’il reste, il faudra qu’il travaille à la lyonnaise, avec Aulas, Ponsot et Juninho. C’est la grande interrogation. On verra à la fin de la saison. Et même s’il y a titre au bout, ce ne sera pas un sésame pour la prolongation », a lancé le correspondant de RMC à Lyon, qui sait que l’OL va peut-être chercher un renouveau avec un coach étranger en vue de la saison prochaine.

 


 

Appadoo voit Lyon griller tout le monde en Ligue 1

Footradio.com

L’Olympique Lyonnais a remporté un succès précieux face au FC Nantes ce dimanche soir en Ligue 1. De quoi encore rêver du podium pour les hommes de Rudi Garcia.

Quatrième, l’Olympique Lyonnais n’a que trois petits points de retard sur le LOSC, premier. Cela tombe bien, les deux formations s’affrontent le week-end prochain en Ligue 1. Un match on ne peut plus important pour les hommes de Rudi Garcia et qui pourrait leur permettre de revenir sur le podium mais également de penser au titre. Car pour certains observateurs, le club rhodanien ne doit pas être enterré. C’est notamment l’avis de Dave Appadoo.


“Ils sont là où ils voulaient être”


Sur le plateau de La Chaîne L’Equipe, le journaliste a donné son avis sur le sujet. “Ils sont là où ils voulaient être. C’est-à-dire totalement en embuscade. C’est une équipe qui gère moins bien le fait d’être devant. Quand ils étaient en tête, c’est le moment où ils ont le moins bien géré. On a l’impression que l’ADN est de se reposer sur ses lauriers. On est d’accord sur les faiblesses mais c’est un club de grand match. C’est presque le même groupe que lors du Final 8. Il y a les confrontations directes et j’ai l’impression qu’ils ont la capacité d’aller au bout avec leur culture de la dernière ligne droite. Cela peut leur servir plus que les autres”, a notamment indiqué le chroniqueur.

 


 

Lyon champion, Nabil Djellit y croit !

Foot01.com

En difficulté ces dernières semaines, Lyon s’est relancé dans la course au titre en battant Angers puis Nantes en Ligue 1.

Les deux succès de l’OL permettent aux hommes de Rudi Garcia de croire en leurs chances de titre, d’autant plus que Lille a été accroché par Montpellier ce week-end (1-1). La semaine prochaine, un choc explosif se profile entre Lille et l’OL, un match dont le résultat pourrait bien être décisif dans l’optique d’une qualification en Ligue des Champions et pour l’obtention du titre de champion de France. Alors que l’OL a été enterré par beaucoup de consultants, Nabil Djellit a fait savoir sur La Chaîne L’Equipe qu’il croyait encore en Rudi Garcia et ses hommes, notamment car l’entraîneur lyonnais a trouvé le bon dispositif tactique pour cette fin de saison avec Islam Slimani en pointe et Memphis Depay à gauche. Repositionné sur l’aile, le Néerlandais vient de marquer trois buts en l’espace de deux matchs.

« Sur le contenu, les matchs de l’OL ce sont les montagnes russes. Mais à Nantes, l’essentiel était ailleurs. Lyon était l’équipe qui aurait pu décrocher de la course au titre mais sur les deux derniers matchs, Rudi Garcia a trouvé la bonne formule en décalant Memphis Depay qui reste efficace à gauche. Il se sont remis dans le sprint final et en plus, c’est une équipe capable d’élever son niveau de jeu dans les gros matchs, elle l’a fait au match aller contre le PSG au Parc des Princes. La semaine prochaine, Lyon est capable de regarder Lille dans les yeux et leur passer devant » a lancé Nabil Djellit, persuadé que l’Olympique Lyonnais peut totalement surprendre tout le monde en battant Lille la semaine prochaine et pourquoi pas Monaco dans deux semaines. Si tel était le cas, les Gones prétendraient de nouveau au titre de champion de France même si le PSG a également les cartes en main de son côté.

 


 

Pourquoi l'OL doit absolument tenter de recruter Mourinho

90min.com

Sur une phase descendante avec Tottenham, "The Special One" a été remercié par son club et est désormais un agent libre. Pourquoi l'Olympique Lyonnais doit tenter le coup ? Eléments de réponse.

1. Aulas en rêve... et a déjà tenté le coup

Le président lyonnais a toujours affirmé vouloir terminer sa carrière auprès d'un grand entraîneur. Ce serait chose faite en enrôlant le "Special One". Jean-Michel Aulas avait d'ailleurs révélé, au micro de RMC Sport, avoir tenté de faire venir l'entraîneur portugais alors qu'il cherchait un successeur à Genesio en 2019.

"Je l’ai relancé pour lui dire que si c’était une appréhension sur le plan économique, qu’on était devenu plus grand qu’il ne l’imaginait. Il m’a rappelé pour me dire lui-même qu’il était effectivement engagé, sans dire avec quel club, même si on a su plus tard que c’était Tottenham. Mais que par contre, il ne fermait pas la porte pour l’avenir" confiait JMA en février dernier.

2. Une côte de popularité en baisse

Au vu de l'intertitre, on peut croire à un point négatif, or le timing semble idéal. Le Mou n'est certes plus celui qu'il était avant, et tant mieux pour Lyon, autrement il serait inaccessible.

José Mourinho pourrait voir en l'OL l'occasion de s'offrir un rebond au second plan de la scène européenne dont le club rhodanien pourrait profiter pour lui aussi concrétiser ses ambitions de redevenir une place forte sur le vieux continent.

3. Une aura incontestable

Si "The Special One" a légèrement égratigné sa crédibilité au cours de ses dernières expériences, il n'en reste pas moins un entraîneur de renom en Europe. Le Mou dégage toujours un certain charisme et une faculté innée à motiver son groupe et le forcer à jouer avec ses idées. Une arrivée de José Mourinho à Lyon pourrait entraîner un élan de motivation au sein du groupe des Gones et permettre d'attirer d'autres joueurs de renom.

4. Le goût du challenge

Tout au long de son expérience en tant qu'entraîneur, Mourinho a toujours prouvé aimer le challenge. D'abord en interférant dans le règne du Barça en Europe avec l'Inter puis en venant déloger Guardiola de son piédestal en Liga ensuite, avec le Real Madrid.

Après avoir laissé derrière lui ses grandes heures européennes, le Mou a redoré un peu le blason de Manchester United en remportant une Coupe d'Europe avant de redresser Tottenham en début de saison, certes avant de dégringoler ensuite.

Le Portugais n'en est pas moins un amoureux du défi et un adepte du seul contre tous qui correspond si bien à l'identité lyonnaise. Aller déloger le PSG chaque année est un objectif dans lequel il pourrait se retrouver.

5. Une expérience européenne

Si ses plus grandes heures européennes sont certes passées, José Mourinho n'en reste pas moins un double vainqueur de la Ligue des champions et un habitué des grands parcours européens.

Un aspect qui colle parfaitement aux ambitions européennes des Gones, eux qui aspirent tant à retrouver leurs anciennes heures de gloire également.

6. Mourinho parle français

L'argument semble bateau, mais au vu de la liste des derniers entraîneurs chosis par Jean-Michel Aulas, il peut peser lourd dans la balance. Lyon a quasiment tout le temps opté pour un entraîneur français sous l'égide de JMA, à l'exception de Sylvinho, dont on sait désormais la courte expérience. Mourinho ne parle pas seulement français, sinon portugais, italien, espagnol, anglais ou encore catalan. Une qualité de polyglote qui rend le contact toujours plus aisé au sein d'un groupe cosmopolite.

 


 

Dossier spécial Super Ligue

 

"C'est la mort de l'émotion du football", dénonce Garcia à propos de la Super League

RMC.fr

Rudi Garcia a fustigé le projet de Super League. L'entraîneur de l'OL, en conférence de presse avant son quart de finale de Coupe de France contre Monaco, a estimé qu'une telle compétition serait dénuée "d'intérêt sportif et émotionnel".

"Je ne vois pas vraiment où est l'intérêt sportif et émotionnel de la chose. Par contre, je vois bien l'intérêt économique". En conférence de presse à la veille du quart de finale de Coupe de France de l'Olympique Lyonnais face à l'AS Monaco, Rudi Garcia s'est publiquement rangé du côté des détracteurs de la Super League. "Le terme projet est capital. Qui dit projet, dit que ça peut éventuellement ne pas se faire. Et j'espère que ça ne se fera pas", a-t-il assené mardi.

"C'est très impopulaire, à juste titre. C'est la mort de l'émotion du football, a aussi déclaré Rudi Garcia. Or, si on joue à ce jeu depuis tout petit, c'est pour avoir des émotions, jouer des grands matchs. Avec cette formule, il y aurait quoi qu'il arrive des grands matchs chaque année avec les mêmes. Ça perdrait de son charme".


"J'ai beau chercher le drapeau français, je ne l'ai pas vu"


Rudi Garcia a aussi souligné l'absence de clubs français parmi les douze fondateurs de la Super League. L'occasion pour lui de faire un parallèle avec ce qu'il considère être un manque de considération du football français par rapport aux voisins européens.

"Ce que je constate, c'est qu'on est déjà en France les parents pauvres de la Ligue des champions sur les championnats majeurs européens, a-t-il lancé. On est champions du monde, mais on n'a que deux équipes qualifiées directement, alors que quatre nations en ont quatre directement. Sur le projet de la Super League, j'ai beau chercher le drapeau français, je ne l'ai pas vu. Donc j'ai l'impression qu'on reste tout le temps les parents pauvres de tout ce qui est prévu. Il faudrait que ça change".


Super League européenne


Avant Rudi Garcia, Jean-Michel Aulas avait déjà réagi lundi. Le président de l'OL avait déploré "les vertus de l'argent contre l'esprit de fair-play" de cette Super League. "Nous devons construire des ponts, pas des murs. Construire (...) l’avenir d’un football où la méritocratie sportive et l’émotion ne sont pas oubliées", avait-il conclu.

 


 

Super Ligue : La lettre ouverte des associations de supporters

Facebook

 


 

Super Ligue : Bielsa écœuré... et résigné, Guardiola se dresse

Maxifoot.fr

En marge du match face à Liverpool (1-1) lundi dans le cadre de la 32e journée de Premier League, les supporters et le club de Leeds ont affiché leur rejet total au lancement de la Super Ligue (voir ici). Défenseur d’un football populaire, l’entraîneur des Peacocks, Marcelo Bielsa, a enfoncé le clou au micro de Sky Sports.

"Le problème fondamental, c'est que les riches aspirent toujours à être plus riches, sans tenir compte des conséquences pour les autres. À mesure qu'ils acquièrent plus de pouvoir, ils commencent à exiger plus de privilèges, a fustigé l’Argentin. Ce qui rend la compétition formidable, c'est la possibilité pour les petites équipes de se développer, pas de voir les grandes équipes s'affronter."

Malgré tout, "El Loco" fait preuve d’un certain fatalisme. "Mais la logique du monde en ce moment, et donc celle du football, ce n’est pas ça. C'est que les puissants deviennent plus riches et que les faibles deviennent plus pauvres. Si c'est ce qui guide le monde en ce moment, pourquoi s’en étonner ? Cela ne devrait pas nous surprendre", a conclu l’ancien coach de l’Olympique de Marseille.

 


 

Les annonces fortes de Florentino Pérez sur la Super League

Butfootballclub.fr

Le président du Real Madrid, Florentino Pérez, a donné une longue interview à l'émission espagnole El Chiringuito afin d'évoquer la création de la Super League, qui répond à une certaine logique selon lui.

Aucune raison d'avoir peur ! Florentino Pérez s'est montré très rassurant hier soir lors de son passage sur l'émission El Chiringuito au sujet de la Super League, dont la création a été entérinée dans la nuit de dimanche à lundi. Selon lui, cette nouvelle compétition va sauver le football, ni plus ni moins. Il ne cache pas qu'elle bénéficiera aux grands, qui vont gagner plus d'argent, mais cela se répercutera sur les petits. Et il jure également que les joueurs ne seront pas impactés au niveau des sélections.

« Les clubs les plus importants d’Angleterre, d’Espagne et d’Italie doivent trouver une solution. L’association européenne des clubs dit qu’ils ont perdu 5 milliards avec la pandémie. La situation est très mauvaise et les grands clubs doivent y faire face. La saison dernière, le Real comptait sur un budget de 800 M€, nous avons terminé à 700 M€. Cette saison, on était partis sur 900 M€, ce sera 600 M€. Ce sont 400 M€ de moins, rien qu’au Real. »


"Les joueurs peuvent être tranquilles"


« Quand tu as moins de rentrées d’argent, au-delà de la télévision, la façon de rentabiliser est d’avoir des matches plus attractifs. C’est pourquoi nous avons entamé ce processus. Nous sommes parvenus à la conclusion que faire une Super League en semaine entre grands clubs pourrait nous permettre de pallier les pertes économiques. »


« Le Real Madrid ne sera pas expulsé de la Champions League, c’est une certitude. Ni de la Liga. Et les joueurs peuvent être tranquilles, ils pourront jouer avec leurs sélections. La C1 n’est attractive qu’à partir des quarts de finale alors qu’avec la Super League, il y aura des grands matches toute la saison. Ce qui ramène de l’argent, ce sont les 15 équipes qui s’affrontent entre elles. Avec les revenus actuels de la Champions League, nous serions morts. »


"Nous n'avons pas invité le PSG"


« Ce que la Super League génère, c’est plus d’argent. Un Real-Mancester ou un Barcelone-Milan est plus attractif que l’une de ces équipes contre une formation plus modeste de la C1. Le football est une pyramide, si ceux tout en haut ont plus d’argent, ça profitera à ceux d’en bas via les transferts, etc. Dites-moi ce que gagnent les clubs modestes en C1. Ils pourront accéder à la Super League, elle n’est pas fermée. Nous croyons au mérite, elles pourront lutter pour mériter de participer à notre compétition. »


« Pour l’instant, nous sommes douze mais nous pourrions être quinze. Nous n’avons pas invité le PSG ni les deux clubs allemands. Le Bayern ? Quand l’information est parue, je ne sais pas pourquoi il a été dit que c’en était fini des championnats. Les championnats sont la base de tout. »

« Ce n’est pas un championnat pour riches, mais pour sauver le football. Nous allons expliquer que c’est l’unique façon de sauver toutes les équipes. Ceux qui doivent donner leur opinion sont les supporters et ce qu’ils veulent, ce sont des compétitions plus intéressantes. Mais personne ne se préoccupe d’eux ! Il arrive des générations nouvelles qui ont perdu l’intérêt pour le foot et il faut changer cela. Nous ne sommes pas en train de jouer avec le futur du football, qui est au bord de la ruine. »

 


 

Super Ligue : le petit rappel d'un journaliste

Maxifoot.fr

"Certains ont dit que c'est une compétition pour les riches mais ce n'est pas vrai." C'est dans ces mots que Florentino Pérez a défendu le projet de la Super Ligue, entériné depuis dimanche. Alors que de nombreux fans de football sont dépités par cette annonce, certains n'ont pas hésité à rappeler que parmi les 12 clubs fondateurs, certains n'ont toujours pas réussi à remporter la Ligue des Champions... au contraire de quelques équipes laissées sur le carreau.

"Benfica, Celtic, Feyenoord, Ajax, Nottingham Forest, Aston Villa, Hambourg, Steaua Bucarest, Porto, PSV, Étoile Rouge de Belgrade, Marseille et Dortmund ont remporté 19 C1. Arsenal, Atletico Madrid, Manchester City et Tottenham n'en ont aucune", a notamment rappelé le journaliste de Sky Sports, Kaveh Solhekol. Une manière de répondre à la phrase d'accroche du président du Real Madrid...

 


 

La presse européenne vent debout contre la Super Ligue

Lequipe.fr

L'annonce de la création de la Super Ligue par douze clubs fondateurs dimanche a eu l'effet d'un séisme sur le monde du football et a fait bondir la presse européenne.

En Angleterre, les journaux ont été particulièrement véhéments contre la Super Ligue, dont six des douze clubs fondateurs sont anglais. Ce qui ne passe pas du tout pour le Daily Star, qui les qualifie du « Big Six de la honte ». Le quotidien anglais s'interroge également : « Pouvons-nous avoir notre football à nouveau messieurs ? » Et invite ses lecteurs à découper sa une afin de pouvoir l'afficher aux fenêtres.

The Sun évoque de son côté un « affront au football européen » tandis que le Daily Express accuse les douze fondateurs de « voleurs du sport national » et a relayé les déclarations de Boris Johnson, qui avait appelé à lutter contre la Super Ligue. Consultant pour Sky Sport, Gary Neville a également fortement critiqué les clubs à l'origine du projet dimanche. « Je suis un un supporter de Manchester United depuis 40 ans et je suis dégoûté. Manchester United et Liverpool me dégoûtent », avait déclaré l'ancien défenseur mancunien.


« Arrêtez-les »


En Italie aussi, la presse s'est montrée très critique. La Gazzetta dello Sport y a consacré sa une avec l'injonction « Arrêtez-les » visant les douze clubs fondateurs et leur volonté de se séparer de la Ligue des champions. Le quotidien italien appelle aussi à des sanctions exemplaires à l'encontre des frondeurs. De son côté, Tuttosport s'est également montré réticent à la Super Ligue. Le quotidien a affiché dans en un montage comportant un énorme « No » sur le projet de Super Ligue.

Même son de cloche en Allemagne. Le quotidien Süddeutsche Zeitung a publié un édito à charge contre la Super Ligue alertant contre « la destruction d'un bien culturel européen et populaire » et a loué la décision du Bayern Munich pourtant « prédestiné comme nul autre club en Allemagne à rejoindre la Super Ligue » de s'y opposer. Des accusations que l'on retrouve également chez la Frankfurter Allgemeine Zeitung, autre grand quotidien du pays, qui évoque « un crime contre le football » et souhaite préserver la Ligue des champions qui a joué un rôle dans l'élaboration d'une « communauté européenne ». Le magazine Kicker prévient de son côté du chaos et d'un « scénario d'horreur » qu'engendrerait une Super Ligue en Europe en prenant l'exemple du basket.


Une rupture


La presse espagnole a réagi un peu plus modérément de son côté. Marca indique que des « clameurs contre la Super Ligue » montent en Europe, de la part de joueurs, de supporters et de dirigeants. Le Mundo Deportivo préfère consacrer sa une aux bénéfices qtireraient le Real Madrid et le FC Barcelone, en difficultés financières, avec la Super Ligue : « 350 millions maintenant ! » AS s'attarde de son côté sur l'opposition entre pro et contre Super Ligue. « Le football se rompt » peut-on lire en une du quotidien espagnol avec l'illustration d'une fissure coupant un terrain de football en deux.

 


 

Infantino : « La FIFA ne peut que désapprouver fermement la Super Ligue »

Lequipe.fr

Gianni Infantino a indiqué ce mardi que la FIFA désapprouvait la création d'une Super Ligue et s'est montré solidaire envers l'UEFA.

Le président de la FIFA, Gianni Infantino, a apporté son soutien à l'UEFA, en guerre depuis dimanche et l'annonce des douze clubs frondeurs de la création de la Super Ligue.

« En tant que FIFA, nous ne pouvons que désapprouver fermement la création d'une Super Ligue, qui est en rupture avec les institutions actuelles, les ligues et les associations de l'UEFA et de la FIFA », a indiqué le président de la FIFA.


« Vous êtes dedans ou dehors »


« Si certains choisissent de suivre leur propre chemin, alors ils doivent vivre avec les conséquences de leurs choix. Ils sont responsables de leur choix. Concrètement, cela signifie que vous êtes dedans ou que vous êtes dehors. Vous ne pouvez pas être à moitié dedans »
, a précisé Infantino en faisant écho aux sanctions qu'envisage l'UEFA.

 


 

Le message chaleureux de Ceferin pour al-Khelaïfi et Aulas face à la Super League

RMC.fr

Aleksander Ceferin a pris la parole ce mardi lors du comité éxécutif de l’UEFA à Montreux en Suisse. Le dirigeant de l’instance a tenu à remercier les clubs et dirigeants restés fidèles à la Ligue des champions malgré la création de la Super League par douze dissidents.

Aleksander Ceferin a tenu à remercier les clubs restés fidèles à l’UEFA et à la Ligue des champions malgré la création de la Super League par douze clubs dissidents. Si Andrea Agnelli, président de la Juventus et anciennement un ami intime et bosse de l’ECA, l’a trahi, le dirigeant Slovène a pu compter sur plusieurs soutiens indéfectibles lors de cette crise sans précédent.

Pour contrer le putsch initié par trois clubs italiens (Juventus, Inter et AC Milan), trois équipes espagnoles (Real Madrid, Barça et Atlético) ainsi que le Big Six anglais (Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester United, Manchester City et Tottenham), l’UEFA s’est appuyé sur les autres habitués de la C1 et notamment les deux derniers finalistes: le PSG et le Bayern Munich. Les deux géants, même si Florentino Perez prétend le contraire, ont refusé de rejoindre la nouvelle compétition.


Ceferin à al-Khelaïfi: "Tu as montré que tu étais un grand homme"


Souvent violemment critiqué par les détracteurs du PSG, Nasser al-Khelaïfi a ainsi été l’un des piliers de la contre-attaque de l’UEFA. Aleksander Ceferin a salué le rôle important joué par le dirigeant francilien.

"Nasser al-Khelaïfi, merci du fond du cœur, a lancé le patron de l’UEFA à destination du président du PSG. Tu as montré que tu étais un grand homme et que tu respectais le football et ses valeurs. J’ai beaucoup appris de toi."


Un gentil mot pour Aulas


Mais les remerciements du patron de l’UEFA ne se sont pas arrêtés-là. Parfois en désaccord avec l’instance, le Bayern Munich est resté dans le camp des légitimistes et notamment son CEO Karl-Heinz Rummenigge qui a même accepté prendre la suite du démissionnaire Agnelli dans l’Association européenne des clubs. Aleksander Ceferin l’en a remercié et a également eu un mot pour Jean-Michel Aulas qu’il a souvent croisé, et notamment lors des épopées des joueuses lyonnaises en Ligue des champions féminine.

"La même chose s’applique pour Karl-Heinz Rummenigge, un fantastique président honoraire de l’ECA. La même chose s’applique pour Jean-Michel Aulas. Il est venu ce mardi, merci d’être venu Jean-Michel. La même chose pour José (Castro Carmona, ndlr) de Séville. Nous avons eu une superbe conversation lundi et ta vision est exactement la même que la nôtre. Merci beaucoup. […] Vous êtes de vrais amoureux du football et les supporters de vos clubs respectifs sont chanceux de vous avoir."

 


 

Super League: un club fondateur anglais songerait déjà à quitter le projet

RMC.fr

Deux jours après l'annonce de sa création, la Super League provoque de vives réactions. D'après les révélations du Times, un des six clubs anglais songerait déjà à la possibilité de quitter la compétition, avant même qu'elle ne démarre. L'idendité du club n'a toutefois pas encore filtré.

L'annonce de sa création a provoqué un véritable tremblement de terre dans le monde du football. Deux jours après, la Super League fait l'objet d'un très gros bras de fer entre les instances de l'UEFA et de la FIFA et les clubs dissidents.

D'après les indiscrétions de The Times, un des six clubs anglais engagés comme membre fondateur (Liverpool, Manchester United, Chelsea, Manchester City, Arsenal et Tottenham) envisagerait déjà de se retirer du projet. Le quotidien britannique n'avance toutefois pas l'idendité de ce club, qui n'a toujours pas filtrée.

Toujours d'après les informations de The Times, ce club aurait été surpris par la farouche opposition à ce projet par les supporters et mènerait des discussions internes d’urgence sur la meilleure façon d’agir alors que la direction serait profondément préoccupée par le rejet des fans.


Le président de l'UEFA les a invité à faire marche arrière


Aleksander Ceferin s’est exprimé ce mardi au sujet de la Super League lors du congrès de l’UEFA. Le président de l’instance a regretté le choix des dirigeants des clubs frondeurs.

"Pour certains, les supporters sont devenus des consommateurs, les supporters sont devenus des clients et les compétitions sont devenues des produits, a lancé le patron de l’UEFA à la tribune. A la fin des matchs, ils ne regardent plus le classement du championnat mais le nombre de téléspectateurs et les pourcentages reversés. Une élimination en Ligue des champions n’est plus un échec sportif pour certains d’entre eux mais est un risque industriel que certains ne sont plus prêts à prendre."

Le président de l'UEFA a ensuite tendu la main aux clubs dissidents, les invitant à faire marche arrière : "Il est encore temps de changer d'avis. Je voudrai m’adresser aux dirigeants de certains clubs anglais. Messieurs, vous avez fait une énorme erreur. Certains diraient que c’est par avidité, d’autres par mépris ou arrogance ou même une méconnaissance totale de la culture du football en Angleterre, a poursuivi le président de l’UEFA dans sa prise de parole. Mais en réalité cela ne compte pas vraiment. Ce qui est important c’est qu’il est encore temps de changer d’avis. Tout le monde fait des erreurs. Les fans anglais méritent que vous corrigiez votre erreur. Ils méritent le respect. […] Principalement pour les clubs anglais, reprenez vos esprits." Face à la pression exercée par les instances et le gouvernement britannique, l'un des six clubs anglais songerait donc déjà à se repantir.

 


 

A quoi ressemblerait la prochaine Ligue des champions sans les clubs de la Super League?

RMC.fr

La création de la Super League pourrait entraîner l’absence de ses clubs lors de la prochaine Ligue des champions de l’UEFA. Si c’est le cas, la compétition conservera un certain intérêt mais le casting sera nettement moins prestigieux que d’habitude.

La fin d’une époque. Ou le début d’une autre, c’est selon. L’arrivée de la Super League s’apprête à bouleverser profondément le paysage du football européen. Si cette compétition élitiste voit le jour, elle actera la scission entre une poignée de clubs riches, désireux de s’enrichir encore plus, et le reste des équipes, condamnées à évoluer dans leur ombre. Le coup serait très rude pour les compétitions de l’UEFA. La Ligue des champions bien sûr, mais aussi la Ligue Europa, par extension. Si aucun accord de réconciliation n’est trouvé entre les putschistes et les instances historiques, la prochaine C1 pourrait perdre sérieusement en attractivité.


Séville, l’Atalanta et Leicester en tête d’affiche


Sans les douze clubs fondateurs de la Super League, la compétition présenterait un visage nettement moins séduisant. Impossible de remplacer si vite le Real Madrid, le Barça, l’Atlético de Madrid, la Juventus, l’Inter, l’AC Milan, Manchester City, Manchester United, Liverpool, Chelsea, Tottenham et Arsenal. Même si ces équipes ne sont pas toutes habituées à briller en Ligue des champions, elles lui assurent un certain standing chaque année.

Pour l’édition 2021-2022, leur absence ferait clairement baisser le niveau d’un cran. En regardant les classements actuels des différents championnats, l’Espagne serait représentée par le FC Séville, Villarreal, le Betis Séville et la Real Sociedad. L’Italie enverrait l’Atalanta Bergame, Naples, la Lazio et l’AS Rome et l’Angleterre qualifierait Leicester, West Ham, Everton et Leeds. Un casting qui ressemble plutôt à celui de la C3 d'aujourd'hui.


Le PSG et le Bayern pour relever le niveau


Le tableau serait tout de même réhaussé par la présence des clubs allemands: le Bayern Munich, Leipzig, Wolfsburg et l’Eintracht Francfort (Dortmund est actuellement 5e). Mais aussi par les équipes françaises: le Losc et le PSG, avec Monaco en barrages (même si tout reste ouvert en Ligue 1, avec l'OL en embuscade). Il faudrait y ajouter de solides outsiders comme le Sporting Portugal, Porto, l’Ajax Amsterdam, le Zénith Saint-Pétersbourg, le Dynamo Kiev ou Besiktas.

A noter que certains clubs de Super League traversent une saison difficile dans leur championnat et qu’à l’heure actuelle, ils ne sont de toute façon pas en position de se qualifier pour la C1. C’est le cas de Liverpool (6e), Tottenham (7e) et Arsenal (9e) en Premier League. L’UEFA a annoncé lundi le lancement d’une nouvelle formule de la Ligue des champions, mais elle n’entrera en vigueur qu’à partir de 2024.

Les qualifiés actuels en Angleterre, hors Super League:
Leicester, West Ham, Everton et Leeds

Les qualifiés actuels en Espagne, hors Super League:
FC Séville, Villarreal, le Betis Séville et la Real Sociedad

Les qualifiés actuels en Italie, hors Super League:
Atalanta Bergame, Naples, la Lazio et l’AS Rome

 


 

Henderson convoque une réunion des capitaines sur la Super League

RMC.fr

D'après les indiscrétions du Daily Mail, le capitaine de Liverpool, Jordan Henderson, a convoqué une réunion d'urgence des capitaines de Premier League pour discuter d'une réponse à soumettre à la Super League.

Les acteurs du monde du football continuent de se révolter après l'annonce de la création de la Super League, y compris les membres des effectifs des douze clubs frondeurs.

D'après les informations du Daily Mail, Jordan Henderson a convoqué une réunion d'urgences des capitaines des équipes de Premier League pour discuter d'une réponse à soumettre à la Super League ainsi que la voie à suivre pour les joueurs.

Pour rappel, Liverpool fait partie des membres fondateurs de la Super League. Les supporters des Reds n'ont d'ailleurs pas manqué de faire part de leur mécontentement, dressant des banderoles avec les incriptions "honte sur vous", "RIP Liverpool, 1892-2021" ou encore "les fans de Liverpool contre la Super League européenne" devant Anfield.


Harry Maguire et ses coéquipiers se seraient aussi plaints à Manchester United


Le tabloïd britannique avance aussi que les joueurs de Manchester United se sont entretenus avec le vice-président du club Ed Woodward, un des initiateurs de ce projet de Super League.

Dans une réunion avec le capitaine mancunien Harry Maguire, les joueurs se seraient montrés mécontents d’avoir découvert les plans des douze clubs par l’intermédiaire des médias.

Pour rappel, Manchester United, tout comme Liverpool, fait partie des membres fondateurs alors que le Times indique ce mardi qu'un des six clubs anglais songerait déjà à se retirer du projet, sans toutefois révéler l'idendité de la formation.

 

 

 Voir aussi... L'actu du Lundi 19 Avril // OL - Monaco : L'Avant Match

 

Viv

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