L'actu du Mercredi 24 Février

L'actu du Mercredi 24 Février

Voir aussi... L'actu du Mardi 23 Février // Brest 2-3 OL : L'After

Aulas : « je n’ai pas envie d’arrêter »

Foot-sur7.fr

Jean-Michel Aulas va-t-il céder sa place de président de l’ OL à un autre responsable du club ? Quand le dirigeant de 71 ans compte-t-il se retirer ? Interrogé par L'Equipe, il avoue qu'il n'a pas l'intention de partir maintenant.

Jean-Michel Aulas est président de l’ OL depuis 1987. Il y a un peu plus d'un an, Tony Parker a fait son entrée dans le capital du groupe OL. Le patron des Gones avait annoncé l’ancien basketteur comme son probable successeur. « J'ai une grande affection pour Tony et tout ce qu'il représente. Si le jour où je souhaite passer la main, ça peut se faire avec une forme de transmission professionnelle, mais aussi affective, ça peut être top », avait-il annoncé, début avril 2020. « Je le dis par transparence et parce que ça me paraît évident. Je ne le dis pas parce que j'ai une idée derrière la tête et que j'en ai parlé avec lui. Il n'y a aucune décision de prise ni de son côté, ni du mien, ni du côté de nos actionnaires », avait précisé Jean-Michel Aulas.

Interrogé par le quotidien sportif sur son avenir, le responsable de l’Olympique Lyonnais n’a pas confirmé son départ annoncé dans 4 ou 5 saisons en 2020. « Non, je n’ai pas envie d’arrêter », a-t-il répondu dans le quotidien sportif. « Le moment serait mal choisi. Il faut que la pandémie se termine, on a des investissements lourds en cours, et je ne veux pas sortir dans des conditions qui menacent l’identité du club », a expliqué Jean-Michel Aulas. Cependant, il songe quand même à prendre sa retraite après 34 ans d’exercice consécutif. « Mais il faut préparer la suite », a-t-il lâché pour finir.


Parker en apprentissage auprès du président des Lyonnais


Prépare-t-il l’arrivée de Tony Parker à sa place ? Possible, car le concerné avait annoncé la tendance sur OLTV, en mai 2020. Il avait confirmé être en apprentissage auprès de JMA. « C'est ce qu'il faut pour bien apprendre, car présider OL Groupe ce n'est pas juste choisir l'entraîneur et les joueurs. C'est beaucoup plus costaud que cela », a déclaré Tony Parker. L’ancienne gloire de la NBA est actuellement ambassadeur du club rhodanien à l’étranger et particulièrement aux États-Unis d’Amérique. « J'aimerais juste que la marque OL, qui n'est pas trop réputée aux USA, soit reconnue à l'international comme le FC Barça ou le Real Madrid », avait-il indiqué.

En plus de la casquette d’Ambassadeur de l’Olympique Lyonnais et de président de l’ASVEL-Lyon (Basketball), le dirigeant de 37 ans est membre du Conseil d’administration du club de la capitale des Gaules. Il est également l’un des responsables de OL Reign, club américain de football féminin racheté par OL groupe en décembre 2019.

 


 

Aulas très évasif sur une prolongation de Garcia, même en cas de titre

RMC.fr

Jean-Michel Aulas maintient le flou sur l'avenir de Rudi Garcia, en fin de contrat à Lyon à l'issue de la saison. Même un titre de champion de France, qu'il vivrait comme "un pied de nez" à ses concurrents, ne garantirait pas un nouveau bail pour l'entraîneur.

Jean-Michel Aulas ne s'autorise pas encore le droit de rêver à un huitième titre de champion de France. L'OL peut pourtant y croire avec une deuxième place à trois points de Lille, leader. Cela n'empêche pas le président lyonnais de se projeter sur les répercussions d'un sacre face à une concurrence qu'il juge bien mieux armée économiquement.

Le titre? "Ce serait quand même un drôle de pied de nez"

"Je reste raisonnable, parce que je ne vois pas comment le PSG pourrait perdre, vu sa puissance financière, explique-t-il dans une interview à L'Equipe. On a à Lille un fonds vautour (Merlyn Partners, spécialiste du rachat de dettes), un PSG avec un Qatar surpuissant, et un Monaco dirigé par des investisseurs russes avec une fiscalité et des charges qui n'ont rien à voir avec les nôtres. Alors je me dis que ce serait quand même un drôle de pied de nez, en étant franco-français et entrepreneur local, d'arriver à battre ces grosses puissances."

A douze journées de la fin, ce destin sportif est encore incertain. Autant que l'avenir de Rudi Garcia, en fin de contrat en juin prochain et toujours pas prolongé. Depuis plusieurs semaines, les acteurs s'échinent à rappeler que la décision sera prise l'été prochain et Jean-Michel Aulas n'a pas changé de discours. Il laisse toujours planer le doute sur la suite de l'aventure de son entraîneur.

"S'il y avait une très, très bonne nouvelle, tout serait possible"

"Je suis assez content que Rudi ait de bonnes performances, parce que je me souviens très bien des prises de positions, partout, à sa nomination, rappelle le dirigeant. J'aime bien quand quelqu'un sort de l'adversité avec ses propres valeurs et celles de l'institution. Si Rudi peut arriver en fin de saison avec des objectifs atteints, on aura la même vision que par le passé, on jugera à la fois sur ses performances et sur le potentiel à pouvoir poursuivre. S'il y avait une très, très bonne nouvelle, évidemment que tout serait possible."

Il salue d'ailleurs la réserve de son technicien sur le sujet. "Rudi a bien compris l'ADN de l'institution: tout le monde peut s'exprimer, mais il sait très bien qui prend la décision finale", confie-t-il. Pour Aulas, cette stratégie de ne donner aucune visibilité à son technicien à court terme n'aura pas d'impact sur la performance de son équipe. Il assure faire en sorte qu'il n'y en ait pas. "Je pense que l'indécision permet aux gens de se surpasser, conclut-il. L'équilibre global du club nous amène à maintenir cette indécision le plus longtemps possible."

Il avait ouvert la porte à une prolongation dans l'émission "Comme Jamais"

Il avait ouvert la porte à la possibilité à l'extension du bail de son technicien dans l'émission "Comme Jamais" sur RMC Sport. "Aujourd'hui, la question ne se pose pas, avait-il déjà expliqué. On a discuté longuement avec Rudi. On a prévu de se voir au moment où on pourrait prendre les décisions. "Juni" (Juninho, directeur sportif du club, ndlr) participera aussi à notre réflexion. Mais évidemment, ce qu'il fait en ce moment milite pour prolonger l'avenir."

 


 

Aulas tacle "les présidents qui ont trouvé une qualification européenne dans une pochette surprise"

RMC.fr

Dix mois après l'arrêt de la saison 2019-2020 de la Ligue 1, Jean-Michel Aulas adresse un tacle à ses homologues qui trouvaient leur intérêt dans cette décision et qui se retrouvent dans une situation délicate aujourd'hui.

Il ne nomme personne mais son regard semble assez facile à suivre. Dans une interview accordée à L'Equipe, Jean-Michel Aulas, président de Lyon, a de nouveau regretté l'arrêt de la Ligue 1 à la 28e journée la saison passée. Il dénonce les pressions de certains présidents de clubs qui trouvaient leur intérêt sportif dans cette décision alors que lui a toujours milité pour que le championnat reprenne et aille à son terme, comme dans les autres grands championnats européens.

Interrogé sur la perte de crédibilité de certains présidents dans le fiasco Mediapro, Aulas a sorti les griffes. "Ceux qui ont trouvé une qualification européenne ou un maintien dans une pochette surprise ont été bénéficiaires de l'arrêt sur le coup, mais depuis, pour la majorité, tout va mal pour eux", a lâché le dirigeant.

Si le PSG était largement en tête et ne semble pas concerné, Marseille et Rennes peuvent être visés par cette attaque. Les deux clubs ont bénéficié de l'arrêt du championnat pour valider leur qualification en Ligue des champions. Cela semble même plus spécifiquement dirigé vers Jacques-Henri Eyraud, président de l'OM avec lequel Aulas s'était sèchement accroché en avril lors d'un conseil d'administration de la Ligue. Son allusion aux présidents qui ont décroché leur maintien peut, elle, être lue comme destinée à Pierre Ferracci, patron du Paris FC et partisan de l'arrêt des compétitions qui a sauvé don club de la rélégation en National.


Il maintient ses recours contre l'Etat et la LFP


Il indique avoir maintenu son recours contentieux contre la Ligue de football professionnel (LFP) et l'Etat dans sa volonté de récupérer les pertes liées à cette décision. "Oui, il a été maintenu, et contre la Ligue, et contre l'État, confirme Aulas. Soit c'est l'État, soit c'est la Ligue qui a dit d'arrêter. Comme le Conseil d'État a dit que c'est la Ligue, on va demander des comptes à la Ligue. Et si la Ligue nous dit que c'est l'État, on se retournera. Parce que personne, de bonne foi, ne peut prétendre que nous n'avons pas été lésés."

 


 

Aulas répond à Philippe sur l’arrêt de la Ligue 1 en 2020

RMC.fr

L’ancien Premier ministre, Edouard Philippe, était l’invité de Top of the Foot mardi sur RMC. L’occasion pour le maire du Havre de justifier sa décision d’interrompre la Ligue 1 en 2020 en raison de la crise du coronavirus. Au grand dam à l’époque de Jean-Michel Aulas qui a maintenu ce mercredi sa position.

Jean-Michel Aulas au soutien de Noël Le Graët. Candidat à sa réélection à la tête de la Fédération française de football, ce dernier était présent ce mercredi à Lille pour y rencontrer des membres de la Ligue de football des Hauts-de-France. L’occasion pour le dirigeant de l’OL d’accompagner le président en campagne et d’afficher son soutien à sa candidature.

Les réunions terminées avec les dirigeants locaux, Jean-Michel Aulas a répondu à Edouard Philippe, qui avait justifié l’arrêt de la Ligue 1 la saison passée mardi sur RMC dans Top of the Foot. "Confronté à une crise sanitaire dont l'impératif, c’est d’abord de préserver la santé, je prends une décision claire, rude, je sais", avait déclaré l’ancien Premier ministre.


"Je reste persuadé que c’était une erreur d’arrêter le football professionnel"


"Comme Edouard Philippe l’a dit, cela permet de s’exonérer d’un certain nombre de responsabilités vis-à-vis des gens qui n’étaient pas d’accord sur cet arrêt, a répondu Aulas au micro de BFM Lille. Evidemment, je pense que l’on pouvait faire comme on fait cette année, avec le foot amateur arrêté et le foot professionnel qui fonctionne. Ce que nous avions proposé l’année dernière, et qui n’avait pas été suivi, est accepté cette année.

On ne peut avoir les mêmes réactions avec le foot amateur et le foot professionnel parce que les enjeux ne sont pas les mêmes. Quand la décision a été prise d’arrêter le championnat de première et de deuxième division, Canal + n’a plus verser les indemnités de droits télévisés et le foot s’est trouvé privé de près de 250 millions d’euros de revenus, ce qui fait qu’aujourd’hui on est en grande difficulté."

"Approche certainement politique du Premier ministre mais ceci étant je reste persuadé que c’était une erreur d’arrêter le football professionnel. D’ailleurs, seule la France s’est arrêtée, tous les autres grands pays ne se sont pas arrêtés et l’on voit bien que cette année, la décision a été prise différemment. Un peu dans le sens de ce que je souhaitais l’année dernière", appuie le dirigeant lyonnais, comme pour rappeler que son option était la bonne.

 


 

Eyraud, crise… Aulas répond aux supporters marseillais !

Le10sport.com

Le week-end dernier, les supporters de l'OM ont tenu une conférence de presse afin de clarifier les choses avec la direction du club. Après avoir été pris comme exemple lors de cette dernière, Jean-Michel Aulas a tenu à répondre aux supporters phocéens...

L’OL se déplacera sur la pelouse de l’OM ce dimanche. Le deuxième de Ligue 1 aura à coeur de revenir de cet Olympico avec les trois points pour recoller un peu plus au leader, le LOSC, et essayer de distancer le PSG. Le club phocéen, lui, souhaite se remettre sur de bons rails après le nul face au FC Nantes (1-1) le week-end dernier et remonter un peu plus au classement pour essayer d’attraper une place en coupe d’Europe. Si l’OM semble relever petit à petit la tête de l’eau, le club traverse toujours une phase difficile. Avant le déplacement à la Beaujoire, les supporters marseillais s'étaient réunis pour tacler le président Jacques-Henri Eyraud et réclamer son départ au plus vite. Ces derniers ont notamment pris Jean-Michel Aulas, qui dirige l’OL d’une main de maître depuis des années, comme exemple. Un petit hommage auquel le président de Lyon a tenu à répondre.

« On ne souhaite à aucun club, aucun président et aucun groupe de supporters de vivre ce qui se passe en ce moment à Marseille »

Dans un entretien pour L’Equipe, Aulas a avoué qu’il ne souhaitait à aucun club ce qui se passe à l’OM ces derniers temps : « J'en suis très fier. Les supporters de l'OM adoraient Bernard Tapie, on comprend pourquoi, et ils aiment qu'il y ait un vrai patron. Ma manière de faire, qui les dérange quand on joue contre eux, peut susciter sur la durée des rêves inassouvis. On ne souhaite à aucun club, aucun président et aucun groupe de supporters de vivre ce qui se passe en ce moment à Marseille », a confié Aulas.

 


 

Aulas tient une révolution pour enterrer le fiasco Mediapro

Butfootballclub.fr

Le président de l’OL Jean-Michel Aulas pense dur comme fer que le football français aurait tout intérêt à revoir ses plans concernant les droits télé. Il en va de son avenir.

Le fiasco Mediapro aura au moins eu un avantage : il n’est plus indispensable de le présenter. Tout le monde sait en effet aujourd’hui à quel point le désengagement du groupe sino-espagnol sur les droits télé a causé de forts remous au sein du football français.

« Cette année, la perte du football français va être de 1,3 milliard d’euros, a déjà calculé Jean-Michel Aulas dans L’Équipe. Si on ne trouve pas des mesures, on aura une catastrophe qui ne sera pas due uniquement à l’erreur sur Mediapro. J’ai négocié avec Vincent Labrune avec les diffuseurs, ils n’ont pas été très ouverts ni généreux avec nous… Mais des problèmes de concurrence vont se poser, forcément. De nouveaux diffuseurs sont prêts à intervenir. »


« C’est une solution qu’on ne détient pas, mais que l’on réclame »


Pour apporter encore plus ses lumières sur ce sujet épineux, le président de l’OL a exposé sa solution, qui ressemble à une mini révolution déjà esquissée ces dernières semaines. Là, il l’évoque en profondeur. « Si on veut résoudre le problème, il y a une manière très simple, et qui ne coûte presque rien à l’État, poursuit-il. Aujourd’hui, on a un droit de concession de nos droits télé de quatre ans, or les chaînes n’arrivent pas à rentabiliser sur quatre ans. Mais on sait que, sur une période plus longue, on pourrait rentabiliser et atteindre des chiffres élevés. C’est ce que vient de faire l’Italie, qui a chiffré la valeur de la Serie A à 18 Mds€ sur dix ans. C’est une solution qu’on ne détient pas, mais que l’on réclame. Si l’on pouvait vendre nos droits sur une période entre quatre et dix ans, le foot français pourrait s’en sortir, on ne demanderait pas d’effort supplémentaire à l’État, et on se donnerait les moyens d’offrir un spectacle beaucoup plus concurrentiel. »

 


 

Slimani donne un précieux conseil à Rayan Cherki

90min.com

Rayan Cherki est considéré comme l'un des plus grands talents du Vieux Continent. Âgé d'à peine 17 ans, le milieu offensif fait déjà partie de la rotation de l'Olympique Lyonnais. Le jeune talent tricolore peut d'ailleurs compter sur les conseils d'Islam Slimani pour espérer exploser au plus haut niveau très rapidement.

L'Olympique Lyonnais dispose de l'un des meilleurs centres de formation de la planète. Ces dernières années, le club rhodanien a fait éclore de nombreuses pépites au plus haut niveau. Encore aujourd'hui, la direction lyonnaise peut compter sur de très grands talents. Parmi eux, un certain Rayan Cherki.

Âgé de 17 ans depuis le mois d'août dernier, le milieu offensif fait déjà partie de la rotation de Rudi Garcia. Il a connu 32 apparitions sous le maillot rhodanien, pour un total de quatre buts et deux passes décisives. Pourtant, Rayan Cherki semble stagner un peu, ces derniers mois. Il a beaucoup de mal à être mieux qu'un joker de luxe pour l'OL.

Ne s'étant toujours pas montré décisif en Ligue 1 cette saison, Rayan Cherki a toutefois pu compter sur les conseils d'Islam Slimani. Recruté au mois de janvier dernier, l'attaquant algérien rappelle que son coéquipier est encore tout jeune pour le site olympique-et-lyonnais :

"Il a beaucoup de talent, j'ai rarement vu un joueur de 17 ans avec ce talent-là. Maintenant, Rayan, il faut qu'il comprenne qu'il doit travailler. On le sait, le talent seul ne suffit pas. Si tu as le talent et le travail, tu peux aller encore plus loin. Il a 17 ans, il ne faut pas lui mettre trop de pression. Je le répète, il doit travailler et il faut lui donner de la confiance."

Il est certain que Rayan Cherki évolue dans l'environnement parfait pour réussir au plus haut niveau. En suivant les conseils d'Islam Slimani, le talent de 17 ans pourrait très vite exploser aux yeux du grand public.

 


 

Vidéo : l'entrainement du jour et le speaker Denayer

Twitter

 


 

Garcia va quitter Lyon, un faux suspense

Foot01.com

Tandis que Jean-Michel Aulas reste flou concernant la possible prolongation de contrat de Rudi Garcia, la situation paraît très claire à Lyon.

Rudi Garcia est sous contrat jusqu’à la fin de l’actuelle saison avec l’Olympique Lyonnais, et même si son équipe fait des prouesses en Ligue 1, l’entraîneur rhodanien ne sait pas encore de quoi sera fait son avenir. A chaque interview, l’ancien technicien de l’OM et Jean-Michel Aulas tapent en touche, chacun affirmant que rien n’est décidé sur la suite de la carrière de Rudi Garcia dans la capitale des Gaules. Même si on peut penser que le classement final du championnat 2020-2021 aura son importance dans une éventuelle prolongation, ce que JMA confirme dans L’Equipe, il se pourrait bien toutefois que la messe soit déjà dite du côté du Groupama Stadium. C’est du moins l’avis de Vincent Duluc, qui a réalisé l’interview du président de l’Olympique Lyonnais.

Fin connaisseur de l’OL, le journaliste de L’Equipe est lui persuadé que Rudi Garcia n’ira pas plus loin que cette saison, et que le technicien français n'en sera pas chagriné. « Il n'est pas très difficile de constater que Jean-Michel Aulas ne contredit en rien ce qui s'écrit ici même depuis longtemps sur l'avenir de Rudi Garcia, en fin de contrat et qui ne sera très probablement pas conservé. Il semblerait, d'ailleurs, que l'entraîneur lyonnais lui-même n'ait pas envie de rester tous les jours, non plus, dans l'attente d'un projet où il pourrait avoir un peu plus de pouvoir, notamment dans le recrutement. Alors que le président lyonnais revendique clairement l'intérêt de maintenir l'incertitude autour de l'avenir de son entraîneur, se dessine nettement un fonctionnement nouveau », explique Vincent Duluc, qui ne croit pas du tout au suspense vendu par le président de l’Olympique Lyonnais. Dans trois mois on en saura plus sur le futur entraîneur de l'OL, que ce soit Rudi Garcia ou un autre.

 


 

OM - OL : Benoît Millot au sifflet

OL.fr

C’est Benoît Millot qui a été désigné pour arbitrer le 101ème affrontement entre l’OM et l’OL ce dimanche soir au Vélodrome.

La Ligue Professionnelle de Football a choisi l’expérimenté Benoît Millot pour tenir le sifflet dimanche soir lors du match entre l’OM et l’OL. L’arbitre professionnel de 38 ans, qui officie en Ligue 1 depuis la saison 2011-2012, est un grand habitué des rencontres de l’OL. Le natif de Châtenay-Malabry avait d’ailleurs déjà arbitré un match entre les deux clubs, c’était la saison dernière lors d’un quart de finale de Coupe de France remporté 1 à 0 par les Lyonnais. Licencié à la Ligue Paris Ile-de-France, Benoît Millot était aussi au sifflet cette saison de la victoire contre Dijon (4-1) côté OL et du succès marseillais contre Monaco (2-1).

 


 

Slimani est là, Nabil Djellit voit Lyon champion

Footradio.com

Suite au retour en grâce de Monaco, la course au titre va se jouer entre quatre équipes en Ligue 1. Avec le PSG comme favori devant le LOSC et l’OL ? Pas si sûr…

Pour la première fois depuis 2017, quand le Monaco de Kylian Mbappé avait chipé la couronne à Paris, la course à l’Hexagonal est vraiment disputée cette saison. Avec quatre formations qui se tiennent en six points, le suspense n’a probablement jamais été aussi fort au sommet de la L1. Si Lille dispose d’un petit avantage, avec au moins trois points d’avance sur ses concurrents, c’est l’OL qui fait figure de favori, d’après les dires de Nabil Djellit.


« Comme il y a Slimani, je dis Lyon »


« Quel club est le favori pour le titre ? L’OL ! Ils ont une culture du sprint. C’est une équipe qui termine toujours très bien le championnat, même quand il y a des interférences. Avec le PSG, Lyon a quand même le vestiaire le plus dur à gérer. Il y a de fortes personnalités. Le milieu de Lyon est le plus fort de France. C’est une courroie de transmission incroyable. Les joueurs sur le banc sont quasiment aussi fort que les titulaires. Je pense à Caqueret ou Guimaraes. Et puis, devant, ils sont bien outillés, même s’il y a un petit essoufflement ces derniers temps… Mais je pense que l’arrivée de Slimani met la pression sur Kadewere ou Toko Ekambi. Lyon peut le faire. Ils ont un match par semaine. L’OL ou le LOSC ? Comme il y a Slimani, je dis Lyon », a lancé le chroniqueur de La Chaîne L’Equipe, qui espère que l’international algérien récupérera vite une place de titulaire pour remettre Lyon en tête.

 


 

OM : Très bonne nouvelle avant le choc contre l'OL

Foot-sur7.fr

L'OM attend Jorge Sampaoli avec impatience, mais c'est sans l'Argentin qu'il va accueillir l'OL pour un choc des Olympiques, dimanche (21h) à l'occasion de la 27e journée de Ligue 1. L'ex-sélectionneur du Chili et l'Albiceleste pourrait être présent en Coupe de France contre Le Canet, mais en attendant, c'est un virage difficile que doit emprunté l'Olympique de Marseille contre le deuxième du championnat de France, qui avance très vite en haut de classement. Et c'est sans plusieurs joueurs majeurs de son effectifs que Nasser Larguet va devoir composer. Mais il devrait enfin pouvoir compter sur l'une des recrues hivernales de Pablo Longoria.

L'OM sans Rongier, Sakai et Benedetto contre l'OL

Après un match aller très décevant entre Lyon et Marseille (0-0), les deux équipes se retrouvent au Vélodrome dans des dynamiques bien différentes. Les hommes de Rudi Garcia viennent de s'imposer sur le terrain du Stade Brestois (3-2) et sont intercalés entre le LOSC et le Paris Saint-Germain sur le podium de la Ligue 1. De son côté, L'Olympique de Marseille est à la peine. Les joueurs de Nasser Larguet n'ont pu faire mieux qu'un match nul à la Beaujoire, contre le FC Nantes, qui lutte pourtant pour son maintien. Il a par ailleurs perdu son latéral japonais Hiroki Sakai, expulsé, et le milieu de terrain et ancien Canari, Valentin Rongier, après accumulation de cartons jaunes. À ces deux absences s'ajoute celle de Dario Benedetto. Le buteur argentin, exclu à Bordeaux contre les Girondins pour un très vilain tacle, est toujours suspendu.

Arkadiusz Milik titulaire contre Lyon ?

Mais dans ce marasme, Nasser Larguet devrait pouvoir compter sur le retour de son avant-centre polonais Arkadiusz Milik. L'ancien du Napoli, arrivé au mercato hivernal, n'a joué environ que 90 minutes depuis son arrivée. Une demi-heure à Monaco et une heure à Lens, où il fut buteur avant de sortir blessé et de manquer les matches suivants. Préservé contre le FC Nantes par son entraîneur alors qu'il était tout proche d'un retour, Arkadiusz Milik devrait reprendre son rôle au jeune Bamba Dieng contre l'OL. Un retour qui va faire du bien à l'OM, alors que l'international de 26 ans est très attendu et à encore tout à prouver, surtout dans la période actuelle de conflit entre les supporters et la direction marseillaise.

 


 

Aulas soutient Le Graët, Daniel Riolo est écœuré

Footradio.com

Dans quelques jours auront lieu les élections pour la présidence de la Fédération Française de Football. Quelques favoris se dégagent déjà.

A chaque période d’élections, les principaux candidats partent en campagne. Le 13 mars, Frédéric Thiriez sera aux prises avec Michel Moulin et Noël Le Graët, président sortant, pour être élu nouvel homme fort du football français. Quelques personnalités connues du monde du football leur ont apporté leur soutien. Concernant Noël Le Graët, il devrait compter sur la voix de Jean-Michel Aulas, qui l’avait pourtant critiqué au moment où le football s’était arrêté totalement lors du premier confinement de l’année 2020. Une retournement de veste lors d’une récente interview que n’apprécie pas du tout Daniel Riolo.


“Il soutient Le Graet qui a pourtant pris la pire décision pour notre foot l’année dernière”


Sur son compte Twitter, le consultant n’a en effet pas manqué de le faire savoir. “ITW d’Aulas … il soutient Le Graet qui a pourtant pris la pire décision pour notre foot l’année dernière… décision honnie par Aulas par ailleurs… je sais je sais on va me dire que c’est de la politique…”, a notamment posté Daniel Riolo, qui en a également profité pour tacler Noël Le Graët : “Et Le Great qui apporte un léger soutien à Eyraud… et pour se justifier parle de résultats et de classement… il n’a jamais rien compris ! Jamais à rien. Et il va être réélu…”. Ambiance…

 



Zidane prêt à miser 35 ME sur Cherki ?

Foot01.com

Malgré un potentiel évident, Rayan Cherki ne parvient pas à s’imposer pour le moment comme un titulaire à l’Olympique Lyonnais.

Très rarement titulaire, le milieu offensif de 17 ans est encore trop tendre pour prétendre à une place dans le onze de départ de l’OL aux yeux de Rudi Garcia. Cela ne remet toutefois pas en cause son potentiel exceptionnel, qui lui a permis de battre des records de précocité dans la capitale des Gaules. Pour l’instant, Rayan Cherki se montre patient et attend son heure. Mais à force de patienter sur le banc des remplaçants, le natif de Lyon pourrait s’agacer et si cela arrivait, les cadors européens seront sans aucun doute à l’affût pour s’octroyer les services de celui qui est lié à l’OL jusqu’en juin 2023.

A en croire les informations obtenues par Todo Fichajes, le Real Madrid fait partie des clubs intéressés par le profil de Rayan Cherki pour l’avenir. En fin connaisseur du marché français, Zinedine Zidane connaît le milieu offensif de l’Olympique Lyonnais sur le bout du doigt, et a d’ores et déjà glissé son nom à Florentino Pérez de nombreuses fois. Cela tombe bien, la stratégie du Real Madrid est clairement de miser sur des jeunes joueurs en devenir depuis quelques années, comme cela a été le cas avec Vinicius, Reinier, Ferland Mendy, Éder Militão ou encore Rodrygo. A en croire le média espagnol, les dirigeants du Real Madrid estiment Rayan Cherki à environ 35 ME, une somme déjà colossale au vu du peu d’expérience du joueur en Ligue 1. Mais du côté de Jean-Michel Aulas et de Juninho, on espère bien évidemment voir Rayan Cherki exploser à l’OL afin de le vendre deux à trois fois ce prix.

 

 

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